Ma belle Brésilienne (1)
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
À cette époque j’avais 35 ans, je vivais au Brésil. J’étais cadre supérieur dans une grande entreprise française dont je tairai bien entendu le nom. Le pognon coulait à flots, la vie était belle. Bien entendu, ma petite amie du moment était canon. Mélissa était une sublime métisse, à la peau dorée et aux longs cheveux frisés. Même pas tout-à-fait 20 ans, très grande, plus grande que moi, le ventre plat et les seins comme des obus... La chatte perpétuellement en feu, aussi ! Et, comble du raffinement, elle parlait français, avec le bel accent chantant de son pays... Le rêve éveillé de n’importe quel mec normalement constitué. Pourtant, je m’étais déjà lassé d’elle. On en trouve tellement, des nanas comme elle au Brésil... Je m’apprêtais à la quitter, elle ne s’en doutait pas, et quand elle a su que je rentrais en France pour les vacances et l’anniversaire de mon père, elle a tellement insisté pour venir avec moi que j’ai accepté de lui payer un billet d’avion. À une condition... J’ai vu ses yeux de braise s’allumer, j’ai cru qu’elle allait m’étrangler ! On a eu une dispute homérique. J’ai pourtant fini par avoir le dessus. J’avais de bons arguments. Tout miel, elle a fini par se calmer, et par accepter... * Trois jours après notre arrivée en France, j’ai annoncé à Mélissa que nous allions visiter mes parents. La belle métisse a frémi, de colère et d’inquiétude. J’ai planté un baiser sur ses lèvres. -Tout doux ma belle... Ça va bien se passer... Je ne l’ai pas senti rassurée. ...
... Ce qui ne m’a pas empêché d’acheter deux billets de train... * Mélissa a fait meilleure figure lors du dîner d’anniversaire. On n’avait pas prévu grand-chose, juste un repas amélioré, mes parents savaient que j’étais fatigué, leur présence me suffisait. Mélissa plaisantait avec mes parents, leur parlait du Brésil... La belle-fille idéale ! Puis nous sommes allés regarder la télé. En plein milieu du film, j’ai dit à Maman, en plaisantant : -Maman ! Si ça ne t’intéresse pas, va te coucher ! Elle m’a répondu, hagarde : -C’est pas ça le problème, il est bien le film, pour une fois que c’est pas une rediffusion en plus... Mais je sais pas ce qui se passe, je suis crevée... Effectivement, elle ne savait pas ce qui se passait, elle ne m’avait pas vu verser le somnifère dans son jus d’orange... Elle s’est levée en titubant, pour gagner sa chambre. Je dis bien sa chambre, elle et mon père faisaient chambre à part depuis au moins dix ans. Nous avons regardé la fin du film, tranquillement, tous les trois. Mon épaule était posée sur la main de Mélissa, que je caressais doucement. Et puis, à la fin du film, après un brin de causette, mon père s’est retiré dans l’ancienne chambre d’amis, et Mélissa et moi dans la chambre que j’avais laissée en quittant la maison. Tandis que je gardais mes vêtements, j’ai ordonné à Mélissa de se déshabiller. Intégralement. Je ne l’ai autorisée à garder qu’un collier en or qui mettait en valeur ses seins. Son corps était vraiment sublime. Elle m’a dit : -Tou ...