1. Ma belle Brésilienne (1)


    Datte: 09/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... à bloc, le tout surmonté d’une touffe hirsute de poils blancs comme la neige. Le sexagénaire bandait comme un adolescent. Mélissa a planté un petit bisou sur le gland de mon père. La seule chose que je lui avais interdite, c’était de se faire éjaculer dans la bouche, mais rien ne l’empêchait de faire une petite caresse buccale à mon paternel. Ce dont la divine petite salope ne s’est pas privée, léchant et embrassant son gland et sa hampe avec toute la virtuosité dont je la savais capable. Puis Mélissa s’est laissée retomber sur le lit, toujours dans la position du grand écart. Avec un sourire enjôleur, elle a dit à mon père : -Qu’est-cé qué tou attends ? Fais-moi amôr ! Mon père n’a pas hésité. Avec son membre vigoureux, il a pénétré ma petite amie. La petite amie de son fils. Son sexe coulissait dans sa féminité comme dans du beurre, à grands coups de ah ! et de oh ! Il écartait ses chairs brunes, chaudes et humides comme son pays. Il pétrissait les seins de Mélissa et l’embrassait à pleine bouche tout en lui donnant de grands coups de hanche. Mélissa tortillait du cul au rythme des coups de queue que lui infligeait mon père. Il respirait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Très vieille école, mon père lui a demandé : -Tu jouis ? Tu jouis ? -Siiiimm, gozo, gozo, me fuda, me fuda !!! Ma belle Brésilienne ne jouissait qu’en portugais. Mon père ne maîtrisait pas cette langue, mais je savais qu’il avait compris que Mélissa d’un soir venait d’avoir un orgasme. Il n’a ...
    ... pas tardé à faire feu. J’ai compris aux sons de sa gorge qu’il éjaculait dans le vagin de Mélissa. J’imaginais les jets de sperme s’écraser contre les parois internes de notre maîtresse commune. J’avais une envie folle de me branler, mais je savais que je devais attendre. Mon père et Mélissa s’embrassaient tendrement et se caressaient. Il ne s’est pas retiré d’elle. J’ai compris qu’il était en train de remettre le couvert quand leurs hanches se sont remises à bouger en rythme. * Ils ont baisé deux autres fois. À chaque fois, mon père lui a juté à l’intérieur. Mélissa a fini par se séparer de lui. -Il faut que je rétourne auprês de Lourenço, chérri... Il va finir par sé rendre compte... Je m’appelais Laurent, mais elle m’appelait toujours Lourenço. Elle savait que j’étais dans le coup, elle se doutait peut-être même que je matais, mais j’ai supposé qu’elle en avait marre. Je ne lui en voulais pas, après tout elle venait d’offrir un beau cadeau d’anniversaire de mon père. J’ai rapidement remis les bouquins en place tandis que Mélissa quittait, nue, la chambre de mon père. Quand elle est rentrée dans ma chambre, elle m’a lancé un regard de défi. Je l’ai saisie par le bras, et faite se coucher sur le lit. Je lui ai écarté les jambes. Le spectacle était hallucinant. Le sperme de mon père enduisait la vulve de ma jeune amie. Ses lèvres restaient gonflées par le désir. Ses poils étaient collés par la sueur et le sperme. Les yeux luisant de désir, j’ai regardé Mélissa et je lui ai ...