1. Ma belle Brésilienne (1)


    Datte: 09/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... recouvraient sa poitrine, et à caresser son ventre un peu proéminent. Mon père, de plus en plus hésitant, lui a répondu : -Oui, mais marié, moi je le suis... Ma femme... -Ta femme... Elle saura jamais rien, chérri... Elle va dormir toute la nouit... Mon amante a léché et embrassé le torse velu de mon père. Mon père a passé la main dans les cheveux de Mélissa. Il regardait au ciel Subitement, la petite traînée s’est redressée. Elle avait eu beau faire la mijaurée, elle aimait ça... Lentement, en regardant mon père dans les yeux, fixement, Mélissa a fait glisser une de ses bretelles le long de son épaule, dévoilant sensuellement un généreux sein brun, aux aréoles foncées, qui défiait la gravité. Mon père a louché sur l’anatomie de ma petite copine. Il s’est penché vers elle et s’est saisi de son sein nu, il l’a attrapé à pleines mains, le caressant, le malaxant, étirant le mamelon pointu, avant de l’engouffrer dans sa bouche et de le téter comme l’aurait fait un bébé affamé depuis des heures. Mélissa caressait son crâne presque entièrement chauve et lui faisait de petits bisous. -Oh oui mon chérri, tou es oun dieu dou sexe... Elle en faisait vraiment beaucoup... Se sentant encouragé, mon père a tiré sa deuxième bretelle, et la chemise de nuit est tombée sur les hanches larges de Mélissa. Il a ainsi fait jaillir de son bonnet son autre nichon et lui a fait subir le même traitement. Mélissa a fermé les yeux et rejeté la tête en arrière, faisant saillir un peu plus ses seins ...
    ... superbes... Quand Mélissa a de nouveau embrassé mon père, ses seins luisaient de salive. Elle a pris une des mains de mon père, a léché son index et l’a passé sur son cou, entre ses seins, sur son nombril avant de le glisser sous sa chemise de nuit roulée au tour de la taille. Mon père avait les yeux exorbités, il a avalé sa salive et a chevroté : -Mais tu es trempée, petite salope... Ma belle Brésilienne a fait un petit bécot sur la bouche à mon père, est s’est allongée sur le lit, jambes serrées. -Tou es soûr ? Tou veux vérifier ? Mon père s’est léché les babines et a fait glisser le fin tissu sur les cuisses de mon amie, qui s’est retrouvée entièrement nue devant lui. Ses seins pointaient, et sa toison pubienne était pleine de mouille. Mon père a caressé ses cuisses sensuelles, avant de lui lécher la plante des pieds, de la pointe de sa langue. Mélissa a éclaté d’un rire tonitruant. Puis mon père lui a sucé, un à un, avec sa langue crochue, les orteils, avant de la saisir par les pieds et de lui écarter les cuisses d’un geste autoritaire, dévoilant les lèvres gonflées et le clitoris érigé de la jeune fille, avant de lui ordonner : -Dessape-moi ! Mélissa a haussé les épaules en souriant : -C’est quoi dessapé-moi ? -Déshabille-moi, enlève mon pantalon ! Mélissa, le sourire plus carnassier que jamais, s’est redressée pour déboutonner le pantalon de pyjama de mon père et en extraire une queue aux dimensions respectables, au gland violacé luisant de pré-sperme, aux couilles gonflées ...