1. Ma belle Brésilienne (1)


    Datte: 09/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... es sour que tou veux que je fasse céla ? -Você vai ser grandiosa ! Tu vas être grandiose... Je lui parlais en portugais quand je voulais être sûr d’être compris, c’était ma manière de lui faire comprendre que ce n’était pas négociable. -Attrape ta chemise de nuit ! Sans dire un mot, Mélissa m’a tourné le dos, me montrant deux fesses sculpturales, délicatement rebondies et bien bronzées avant de s’accroupir... J’imaginais sa chatte grande ouverte, à prendre, mais il fallait que je me retienne. Mélissa s’est retournée, la chemise de nuit à la main. Je lui ai demandé de l’enfiler. Une chemise de nuit en dentelle blanche, que j’avais achetée pour l’occasion. Superbe. À moitié transparente. Laissant entrevoir ses seins généreux, ses hanches larges, sa motte poilue... Je me suis levé du lit et je l’ai serrée contre moi, en faisant en sorte qu’elle sente bien mon érection. Je l’ai embrassée longuement, passionnément. Avant de me séparer de ses lèvres. De la regarder dans les yeux. Et de lui dire : -C’est à toi ! N’oublie pas que je t’aime ! Elle s’est retournée, et m’a fait profiter de sa démarche chaloupée avant de quitter la chambre. Je me suis monté sur le fauteuil, et j’ai retiré silencieusement mais fébrilement les livres qui se trouvaient sur l’étagère. Le voilà... Le fameux trou, que mes parents ont cru cacher par ce subterfuge... Et qui donne justement sur la chambre d’amis... Enfin, celle de mon père... Une vue plongeante sur le lit... La lumière était allumée. Mon père ...
    ... était en train de bouquiner, comme à son habitude vespérale depuis qu’il était à la retraite. Mélissa est entrée dans la chambre de mon père sans frapper. Mon père a levé le nez de son bouquin. -Mélissa ? C’est vous ? Pourquoi vous ne ... ? Il n’a pas fini sa phrase. Je suppose qu’il a eu le souffle coupé par ce qu’il a vu. Une femme du tiers de son âge, qui entrait dans sa chambre à une heure tardive, fort court-vêtue... Cela n’arrive pas tous les jours dans une vie, n’est-ce pas ? Mélissa le regardait, de son regard fier et impénétrable. Elle ne disait rien. Elle a rejeté ses cheveux en arrière, offrant à mon père une vue affolante sur son décolleté. D’un pas félin, elle s’est approchée du lit de mon père. Elle s’est assise sur son lit. -Mélissa ? Qu’est-ce que vous voulez, à la fin ? Mélissa a posé son index sur les lèvres de mon père. -Chout... Tais-toi... Profite... Elle s’est couchée sur lui, lui a caressé la joue et l’a embrassé. Un baiser lascif avec ses lèvres pulpeuses... J’ai compris que c’était gagné à la manière dont mon père lui rendait son baiser, dont il enfonçait sa langue dans sa bouche... Pourtant, il avait encore des scrupules. Mon père a séparé ses lèvres de celles de la belle Mélissa. -Mélissa, non, ce n’est pas possible... Mon fils... Mélissa lui a jeté un regard coquin. -Et alors ? Jé né souis pas mariée avec loui ! Avec ses longs doigts fins, elle commençait à déboutonner la veste de pyjama de mon père, laissant apparaître la toison de poils blancs qui ...