1. Chronique de la folie ordinaire (2)


    Datte: 08/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... endormis. Normal, après le carrousel de la nuit, je suppose qu’ils sont fatigués. Mes traits à moi ne sont guère mieux. Je me sens moche, inutile, vide. Et ce vide, c’est de partout que je le ressens. Je crois que j’ai besoin d’amour, je songe amour, mais en fait le mot exact serait « baiser ». Puis un bruit de pas qui glissent sur le sol. Un des deux se lève donc. Et dans la cuisine c’est la trogne du type qui me rezieute. Il a une sorte de sourire. Ses lèvres tremblent un peu alors qu’il s’approche de la table. — Je peux avoir un café ? — Il est là ! — Ben… la bonne fifille à sa maman devrait peut-être me le servir, non ? — Non ! — Oh là ! Ce ton pour me dire ça ! Il va falloir qu’elle mette de l’eau dans son vin la nénette. Sinon… — Sinon quoi ? Vous croyez vraiment que vous me faites peur ? — Tu devrais pourtant. Parce que te mettre en travers de ma route pourrait t’attirer un tas d’ennuis. — Elle va bien finir par ouvrir les yeux et ce jour-là… elle vous foutra dehors. — Tu crois ça ? Tu te goures, elle est amoureuse et je ne vais pas lâcher la poule aux d’or. Ce n’est pas une morveuse de vingt piges qui va me mettre des bâtons dans les roues. — Foutez-moi la paix. Je ne vous dois rien. — Si ! Au moins le respect, au vu de mon âge. — Le respect… ça se mérite et vous ne valez rien. — Bon ça suffit ! Un café et plus vite que ça ! — Allez vous faire voir ! Il est venu vers moi. Sa main s’est levée depuis un bon moment déjà. Mais pour l’instant, il ne m’a pas encore osé ...
    ... me frapper, même si de toute évidence l’envie ne lui manque pas. Je saisis ce qui me tombe sous la main et je tiens une fourchette que se trouvait posée sur l’évier. — Si vous approchez… je vous la plante dans le bide. — Mais c’est qu’elle mordrait, si elle avait des dents. Je n’ai rien vu venir. Il m’a attrapé le bras et il me serre contre lui, dans le but sournois de m’embrasser. Je détourne la tête, mais il est fort le bougre. Et je sens contre mon aine sa bite qui est toute bandée. Le con ! Il a baisé pratiquement toute la nuit et il en veut encore. Mais non, mon coco, pas question de me laisser faire. Je fais des efforts inimaginables pour le repousser. J’ai du mal et ses lèvres sont sur mon cou. Merde ; il ne va quand même pas me tringler contre mon gré. J’arrive à desserrer l’étreinte de ses bras costauds. — J’aime bien les femmes qui sont rebelles. Tu es désirable et en furie tu l’es plus encore. Tu as bien compris que je bandais pour toi. Allons, je sais que tu nous écoutes la nuit… quand… — Ça ne va pas non ? Lâchez-moi ! — Allez ! Dis-le-moi que tu te touches, que tu te tripotes pendant que je la baise. Elle crie bien, et je suis certain que de l’autre côté du mur, tu nous entends. Tu es comme elle… et tu dois aussi être bonne. Je veux te baiser aussi, pas de jalouse comme ça. rverwwpq — Vous êtes cinglé ma parole ! Et dire qu’elle est amoureuse d’un con comme vous. — J’adore tes « vous » de grande dame, mais tu n’es rien d’autre qu’une jeune pute. Peut-être même ...
«1...3456»