1. Chronique de la folie ordinaire (2)


    Datte: 08/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... encore pucelle. Et je sais bien que tu ne lui diras rien. Tu aurais bien trop peur de lui casser son petit cœur tout mou. — Salaud, vous êtes infect. Lâchez-moi ou je hurle plein la baraque. — Vas-y ne te gêne surtout pas. Comme ça, elle pleurera tout son saoul ! Tu crois qu’elle te pardonnerait de m’avoir allumé ? Parce que tu te doutes bien que je lui raconterais comment tu me fais des avances depuis… que je suis là ! — Vraiment… vous êtes encore pire que je ne le croyais. — Ben ! Crie donc, jolie salope, hurle… allons, réveille là ! Tu vois que tu hésites ! Viens donc que je t’en roule une. Et laisse-moi un peu passer ma main sur ton joli petit cul. Je lui ai collé une beigne, mais il me l’a rendue de suite. — Ne t’avise plus de recommencer petite pute ! Et pour une de donnée, tu en recevrais deux de plus. Joignant le geste à la parole, il me tire vers lui. Je ne sais pas comment, mais il vient de s’asseoir sur une chaise de la cuisine et je me retrouve en travers de ses genoux. Ce sale type a retroussé ma jupe. Il vient de descendre ma culotte et j’ai droit à une première claque sur les fesses. Je dois être rouge de honte. Puis sa main qui glisse de mon cul à ma chatte. — Non, mais regardez-moi ça ! Elle mouille comme une grosse cochonne cette petite salope. Tiens ! Je bande encore plus ! Tu vas devoir me sucer ma grande. Attends que je sorte Poupette… Il me laisse un peu de mou et je me relève d’un coup. Je pousse de toute la force de mes deux bras sur son torse. La ...
    ... chaise se casse la figure et l’abruti suit le mouvement. Je le vois qui devient blême de colère. — Tu vas me payer ça ! — Elle ne va rien payer du tout. Franck ! Tu fais ta valise et tu sors de chez moi. Estime-toi heureux que je ne porte pas plainte. C’est une tentative de viol sur ma fille, ce à quoi je viens d’assister. — Mais… c’est elle qui provoque à longueur de journée, elle me cherche tout le temps et je ne suis qu’un homme. — Tu n’es pas digne d’être ainsi appelé ! Pour moi un homme c’est un être digne. Tu t’apparentes plus au chien qu’à l’être humain. Depuis un moment, je t’observe et tu as fait pression sur elle. Si tu ne disparais pas dans les dix minutes, j’appelle les flics. — Mais… tu ne peux… — Vient ma chérie, le salopard là, va faire sa valise. — Oh ! Je suis bien contente que tu te sois aperçue qu’il ne valait rien. — Je comprends mieux pourquoi tu ne me parlais pas… et ton malaise venait de ce con-là, je m’en aperçois. — Vous ne perdez rien pour attendre vous deux. — Bon ! Ça suffit tes menaces. Cette fois, j’appelle les flics. On va voir qui est la maitresse ici. — Non, non, je pars… c’est bon, on ne va pas faire de cris. — Fiche-moi le camp ! — Mes affaires ? Je peux prendre mes… — Dégage maintenant, tu les trouveras dans la matinée sur le trottoir tes affaires. Tire-toi tout de suite. La maison est juste perturbée par le bruit qu’elle fait en fourrant dans un sac-poubelle les frusques de Franck. Je ne me sens pas plus heureuse pour autant. J’ai même la ...
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