La rencontre
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
f,
jeunes,
complexe,
fête,
humilié(e),
cérébral,
ffontaine,
Masturbation
nopéné,
portrait,
humour,
occasion,
... plus belle : chaque petit geste, chaque petite attention de sa part me faisait monter dans les tours, encore et encore. Il fallait que je trouve un moyen pour qu’il s’en aille avant que la rivière que j’avais entre les jambes ne se transforme en chutes du Niagara. La tache sous moi avait déjà dépassé mes jambes et formait une auréole sombre autour de mes fesses. Il fallait qu’il parte loin. Mais il fallait aussi que je boive son sperme, alors j’étais tiraillée. Il revint avec le seau promis, et je sortis mes mains de sous mes cuisses, constatant qu’elles luisaient sous le faible éclairage de la pièce, couvertes de mouille. Je puais le sexe à plein nez. Fred ne se rendait compte de rien.Fred me dilatant le cul avec ses doigts d’une merveilleuse façon… C’est pas donné à tout le monde, quand même ! Je saisi le seau et le plaçai entre mes jambes. Les vagues de l’orgasme précédent refluaient à peine, tandis que celles du prochain se faisaient sentir. Je me penchai en avant pour cacher la tache sous moi et, la tête dans le seau, j’en profitai pour mettre une main entre mes jambes, un peu comme si je tenais mon ventre douloureux. Les images de Fred me faisant des choses plus cochonnes les unes que les autres ne s’arrêtaient plus de tourner derrière mes yeux. Du sexe plein la tête, mes doigts trouvèrent leur chemin jusqu’à mon vagin et s’enfoncèrent dedans, culotte et robe comprises. ...
... Sous le regard plein de bienveillance de Fred qui me faisait des choses dégueulasses mais tellement bonnes, je jouissais à nouveau par à-coups, poussant cette fois des petits gémissements à intervalles réguliers, faisant tout mon possible pour ne pas hurler tellement le plaisir était fort. Je restais tétanisée pendant deux bonnes minutes, la tête toujours dans seau, mon idiot et pervers de Fred en train de me regarder. Finalement, quand je pus enfin relever la tête, je sentis un filet de bave couler de mon menton. J’avais joui tellement fort que je m’étais bavé dessus. J’essayai vainement de cacher le petit bruit de succion qui accompagna la sortie de mes doigts, et par pure perversité je les portai à mes lèvres comme si je voulais me couvrir la bouche. L’odeur de sexe qui s’en dégageait était affolante. Je me sentis repartir, mais cette fois je gardai le contrôle. — Fred, prononçai-je difficilement, je veux bien une couverture, finalement.— Bien sûr, dit mon grand dadais en se relevant et en partant. Il revint bientôt avec un plaid léger que je fus plus que soulagée de pouvoir déposer au-dessus des lieux du crime sans pour autant que je puisse moi-même sortir de l’étang que j’avais déversé en quelques minutes. — Fred, repris-je alors que mes paupières devenaient lourdes de fatigue, on se parlera encore demain ?— Bien sûr, dit-il avec un petit sourire indulgent.— J’ai hâte d’y être…