1. Première partie


    Datte: 10/07/2017, Catégories: hh, Collègues / Travail Masturbation intermast,

    ... voit bien qu’elle aime ça. Ne les jette pas, hein ! Je te les prends, je les planque ici dans un coin.— Tu es fou, lui répondis-je, ils vont les trouver dans la semaine et ça va me tomber dessus. Non je les emporte avec moi Il continue et feuilleter à s’émerveiller comme un gamin. Rassuré qu’il ne l’a même pas vue, je pose la bouteille, je l’ouvre, je sors mon sandwich et derrière le bureau, je me mets à manger. Lui, il est en face de moi, debout et penché sur le bureau. — Tu veux du vin ? lui dis-je.— Oui, attends je vais chercher un verre.— Non, il y en a ici, ce n’est pas la peine. Et je lui verse un verre. — Ne reste pas devant moi, tu me caches l’écran de télésurveillance du parking. Assieds-toi. Il obéit, tire un fauteuil et le met sur le côté à droite de la table. Il boit son verre et recommence l’exploration des photos et des revues comme un gamin de six ans qui a trouvé un nouveau jouet. Je ne sais pas combien de temps a passé, dix minutes, peut-être un quart d’heure, mais l’alcool aidant, je sens soudain que la distance qui me sépare de Bermont et de son monde s’amoindrit. Son excitation et ses commentaires me paraissent soudain moins vulgaires et donc susceptibles d’être partagés par moi. Affalé dans le fauteuil, il regarde une revue qu’il tient de la main droite et sa main gauche est posée sur la bosse de son pantalon. Vidant la bouteille dans nos verres, je regarde avec curiosité cette bosse et me dis qu’il a dû écarter son slip ou peut-être ne doit pas en ...
    ... porter, car les contours de son sexe sont assez nettement dessinés sous le tissu. Et pendant ce laps de temps que je médite sur cette proéminence, j’ai l’impression qu’elle durcit et s’allonge encore un peu. Le vin me fait tourner agréablement la tête et me fait l’effet d’un aphrodisiaque. Sa main commence à caresser la bosse de son pantalon et je me dis :« Il a bu autant que moi, il doit être aussi un peu éméché sinon il ne se laisserait pas aller comme ça, au fond du fauteuil, à se caresser franchement. » Je lui dis : — Allez, Bermont, mets la revue sur la table que je voie aussi. N’oublie pas que c’est moi qui les ai trouvées, tu ne vas pas les monopoliser.— Tiens ! me répond-il, en posant la revue sur le bureau. Mais son fauteuil est trop bas pour qu’il puisse voir. Il le pousse dans un coin et prend une chaise. Nous voilà tous les deux à quelques dizaines de centimètres : moi derrière le bureau et lui assis à droite. — Ça m’a donné une de ces triques ! Regarde ! me dit Bermont.— Oui, j’ai bien vu quand tu étais dans le fauteuil.— Tu bandes aussi ? me demande Bermont. Je ne réponds pas et feuillette les revues. La situation me plaît et je me sens émoustillé par sa présence et par ce qu’il dit. Je bande aussi et l’excitation monte de minute en minute. Je m’arrête sur la photo d’un modèle aux magnifiques seins nus, de gros seins bronzés et pointus. — Regarde celle-ci, lui dis-je, elle m’excite à mort. J’ai joui dessus des dizaines de fois. Regarde ses seins, sa peau… Il ne dit ...