1. Première partie


    Datte: 10/07/2017, Catégories: hh, Collègues / Travail Masturbation intermast,

    ... Ce que je fais, le spectacle que je lui donne m’excite autant que lui. Je n’arrête pas : — Ses seins sentent la bite. Si elle était là devant nous, elle aurait joui rien que de sentir ta bite frotter sur ses seins. Bermont a le sexe à l’air et la caresse sans retenue. Je regarde sa bite longue et tendue, le prépuce couvre encore la moitié du gland et pourtant son érection me semble maximale. Je ne détache pas mes yeux de cet objet qui m’hypnotise littéralement. — Tu t’es déjà branlé avec les copains, me demande-t-il— Oh, bah, non, et toi ?— Oui, au collège, on le faisait aux chiottes.— Tu touchais la bite de ton copain et lui branlait la tienne ? Ça doit être bon, non ?— Ouais, c’était bon. J’ouvre ma ceinture et descends mon pantalon. Je sors mon sexe. Il est un peu moins long que le sien, mais le mien est plus épais. Je ne sais pas comment nos chaises se sont rapprochées et au lieu d’être sur le côté droit du bureau, il est à présent à côté de moi. Ses yeux parcourent les photos et, de temps en temps, ses doigts feuillettent fébrilement une revue. Je le relance : — Frotte encore ta bite sur une photo. Tiens, celle-là. Bermont prend la photo la porte à ses lèvres et la lèche avant en y mettant une bonne dose de salive ; puis la met contre son gland et frotte. Je m’empresse de lui reprendre la photo et la porter à ma bouche. — Tu l’as bien mouillé avec ton jus cette fois. Regarde, je lèche ses seins, sa peau, je dis d’une voix tremblante. Le goût de sa bite est dans ma ...
    ... bouche et ça m’excite ; des soupirs de plaisir puis des phrases s’échappent toutes seules de ma bouche : — Putain ! Ses seins sentent ta bite. C’est bon de les lécher. La main gauche de Bermont vient se poser sur mon sexe. J’ai hâte de sentir le sien et je franchis le pas. C’est la première fois que je touche un sexe d’homme. Sa bite est douce et très tendue, je la caresse lentement pour bien la sentir. Je l’entoure de bouts de mes cinq doigts et j’y imprime un lent mouvement de va-et-vient. Je descends la peau du prépuce et décalotte le gland, puis remonte et le recouvre à nouveau. Quand le gland est décalotté, il vient heurter la pomme de ma main. Bermont mouille de plus en plus et j’ai son liquide visqueux sur mes doigts. Je presse un peu sa bite pour en recueillir le plus possible puis je porte ma main au visage et je m’en barbouille les joues, le cou puis les lèvres avant de sucer mes doigts. Je suis comme une chienne en chaleur et je ne me retiens plus. Je lui demande : — Enlève ton pantalon. Je vais aussi enlever le mien. Nous voilà en chemise tous les deux. Je vais jusqu’à la porte et j’éteints la lumière. Il n’y a à présent que la lumière des deux écrans de la vidéosurveillance du garage qui éclaire la pièce. Je n’aime pas trop la manière qu’il a de me branler, il le fait sans délicatesse et un peu mécaniquement alors que moi, je cherche des sensations à chaque millimètre de sa bite que mes doigts parcourent. Je lui dis de se mettre dos au mur et je lui tourne le dos en ...