1. Première partie


    Datte: 10/07/2017, Catégories: hh, Collègues / Travail Masturbation intermast,

    ... rien, mais je vois que sa main droite s’active sous le bureau entre ses jambes. Je suis comme ensorcelé par cette situation inédite. J’ai un homme qui se masse le sexe à travers son pantalon à vingt ou trente centimètres de moi, je bande, je suis très excité et, vicieusement, j’ai envie de pousser les choses plus loin sans avoir la moindre idée de ce qui peut arriver. Je commente en effleurant la photo du bout de mes doigts : — Sa peau est douce et bronzée, j’aimerais jouir dessus. J’adore les seins barbouillés de sperme.— Avec ton foutre ? demande-t-il avant de continuer : Ouais, juter dessus, elle aime ça. Je suis pris dans un tourbillon d’excitation et de désir que je n’ai jamais connu avec une telle intensité. La moindre parole échangée entre nous face à ces images décuple mon désir et j’en veux encore : — Oui, imagine qu’on la baise tous les deux et tu jouis sur ses seins. Je caresse ses seins avec ton foutre.— Tu lèches ses seins aussi ? me répond-il.— Bien sûr, je les caresse avec ton foutre, puis je les suce et je les lèche pour les nettoyer.— Tu lèches mon foutre ? me demande Bermont l’ai étonné sans détacher son regard de la photo.— Tu sais, sur des seins pareils, tu peux mettre ce que tu veux, je lèche. Je ne me contrôle plus ; j’ai l’impression que ce n’est pas moi qui parle, je suis en feu et les paroles m’enflamment encore plus. J’avance à corps perdu sur une terre inconnue et ça me plaît. Je continue : — Tu y mets par exemple de la crème chantilly, je te les ...
    ... lèche comme un malade. Tu les mouilles avec ce que tu veux, je lèche jusqu’à la dernière goutte. Et d’un air faussement surpris, je lui dis : — Mais qu’est-ce que tu fais, Bermont ? Tu te branles ?— Comme toi, répond Bermont, en montrant de la tête ma main qui s’active entre mes jambes avant de reprendre ses commentaires sur les photos :— Je lui pisserais bien dans la chatte. Je lui réplique sans hésiter : — Non, pas dans la chatte, sur les seins ; mouille-les bien de ta pisse et je les masse avec ta pisse et je les lèche. Ça doit être bon. Hummm ! En situation normale, je ne me serais jamais permis de parler avec un tel langage à Bermont que j’avais toujours gardé à distance. Mais là, non seulement j’étais un peu éméché par le vin, mais surtout j’étais excité comme je ne l’ai jamais été. La présence de Bermont, aussi excité que moi, sentir qu’il partage le même désir, les mêmes sensations, me rendait, sans exagération, complètement fou. Une folie extrêmement sensuelle, forte et délicieuse. — Oui, je lui pisse sur les seins. Je jute dessus. Regarde. Avant que je réagisse à ce qu’il disait, Bermont descend la fermeture éclair de son pantalon, sort son sexe, prend la photo et la frotte sur le bout de son sexe en y laissant quelques gouttes de liquide séminal qui y pointait. Il me tend ensuite la photo et me dit avec une voix basse qui trahit son envie : — Lèche-la, lèche ses seins Je ne me fais pas prier et je lèche son liquide translucide sur la photo en insistant sur les seins. ...