1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°804)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... cœur se calme, ma respiration avec. Je décide de garder les yeux fermés et de me laisser bercer par la musique de Mozart qui passe dans mon casque. Je me mets alors à penser être loin de tout stress, au calme, sur une plage de sable fin, allongée baignée par le soleil et le ressac régulier léchant le bord de mer et je m’endors… Une silhouette grande me caresse de son ombre sous le bruit régulier des vagues. L’homme lequel j’ai la certitude qu’il soit le Marquis d’Evans passe sa main furtive sur mes seins, descend doucement sur mon ventre. J’écarte instinctivement les jambes pour lui livrer passage à mon entre-jambes, hummmm ! C’est agréable sous ce soleil, la mer les vagues, ses caresses érotiques de plus en plus précises sur leur destination : mon bas ventre… Sa présence virile …Quand tout d’un coup … Je suis réveillée par l’annonce de l’arrivée à Lyon. Je suis arrachée à ce doux rêve qui je le constate, a rendu mon sexe des plus humide … Le temps de me remettre de cette émotion et je descends du train et commence à sentir le froid du trac me gagner. Je constate que mon vieux démon est de retour, bien présent, mains froides, jambes faibles, tendinite présente également dans mon bras droit comme du temps où je montais en scène pour jouer dans l’orchestre. Je soupire un bon coup… tsss, je suis bête… Bon, maintenant active-toi, tu n’as pas toute la journée pour prendre l’autre train… Dans le dédale de la gare grouillante de monde comme toujours à la Part-Dieu, je finis par ...
    ... trouver mon autre train et j’y monte. L’ambiance change. Mes habits détonnent franchement. Ayant toujours froid, je décide donc de garder mon manteau noir. Le train arrive à la petite gare que m’a indiquée Monsieur le Marquis. Partie de Paris de bon matin, je m’aperçois seulement que le jour est bien levé maintenant et que le soleil pointe difficilement derrière la lourde brume de la campagne vallonnée du Beaujolais. Je parcours le quai en m’imprégnant des lieux. Mes sens sont en éveil. Je regarde autour de moi et ferme les yeux un bref instant pour humer l’air ambiant et tenter de faire tomber un peu la pression que je sens en moi. Puis, un homme, de stature massive mais sec en costume noir d’un plus bel effet s’approche de moi. D’abord, même s’il n’y a que peu de monde sur le quai, je ne le remarque pas. Ce n’est que lorsqu’il m’adresse la parole que je redescends sur terre. L’homme me toise un moment du regard : - Christine, je suppose ? dit-il d’une voix un peu aigrelette mais posée. - Oui, c’est bien moi » répondais-je un peu surprise. - Oui, bonjour, je suis Walter, le Majordome. Monsieur le Marquis m’a envoyé vous cherchez. Il vous attend au Château ! - Bonjour Monsieur Walter. Entendu, ne le faisons pas attendre ! Je vous suis… Nous nous dirigeons vers le 4x4 noir aux vitres fumées. C’est un véhicule haut de gamme. Walter, qui m’impressionne, me demande de monter à l’arrière du véhicule et démarre à petite allure. Le cuir luxueux des sièges me rappelle que ma jupe est ...