-
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°804)
Datte: 17/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... nous nous rencontrons ! A ces mots, il arrive à la droite de Walter, observe la scène. De son regard expérimenté, il comprend ce qui se passe : - Ah voila ! Je me demandais pourquoi tu mets tant de temps à sortir de cette voiture ! - Bon.. bon… bonjour, Mon… mon.. sieur le Marquis, articule-je difficilement en le voyant fondre sur moi. (intérieurement, je me maudissais d’être si ridicule et plus je me maudissais, plus je me sentais être comme dans de la pierre) Monsieur le Marquis fait un bref signe à son majordome et tous les deux m’empoignent un bras et je me sens décoller du sol. Walter ferme la voiture, j’entends le clic de la fermeture automatique. La scène devait amuser tous ceux qui la voyaient. Je m’étais fait une telle joie d’être invitée et maintenant j’avais tellement honte de mon état… Plongée dans la torpeur de la honte, je fus ‘’réveillée’’ par des claquements de doigts et sentant qu’on me secoue doucement par le bras : - Chris… Chris… HO CHRIS-TINE! On respire ! Me lança le Marquis d’Evans. - Ah la voilà qui revient parmi nous ! ...
... Elle m’a aussi fait le coup sur le chemin ! Répliqua Walter à son patron. Elle est restée comme ça, en apnée, la voyant virer au blanc, j’ai même craint qu’elle me tombe dans les pommes ! J’ai comme l’impression que notre invitée à des tempêtes dans la tête ! ha ha ha ! - Mon bon Walter ! Le Marquis riait et parlait d’un ton chaleureux, va chercher Marie qu’elle nous fasse apporter de quoi lui faire reprendre ses esprits dans le petit salon ! Je sentis qu’on me posa doucement sur le haut du perron. Je sentis à nouveau mes pieds toucher terre et mon esprit à la suite. Le voile s’effaça progressivement. - Comment vas-tu ? Me lança Monsieur le Marquis. Tu as fait bon voyage ? Apparemment fort mouvementé si je ne m’abuse. - Oui merci, Monsieur le Marquis ! Je réponds tout en reprenant mes esprits Je remarquai alors que j’étais toujours à moitié déshabillée. Ce qui me paru fort inconvenant et donc je m’apprêtais à me réajuster lorsque j’entendis Sa voix qui avait pris un ton un brin plus sévère. - Qu’essaies-tu donc de faire, là, dis-moi ? … (à suivre ...)