La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°804)
Datte: 17/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... courte et surtout que je n’ai rien en dessous… La voiture avale rapidement les derniers kilomètres menant au Château. Le paysage vallonné est empli de vignes presque à perte de vue si ce n’est qu’au loin là haut, une magnifique foret trône sur une colline et domine les coteaux du fameux vignoble. Au cœur du Beaujolais, il est évident d’avoir un tel panorama. Walter ne cesse de m’observer d’un œil tantôt sévère, tantôt amusé dans le rétroviseur, mais ne dit rien. Même si j’essaye de toujours respirer par le ventre, je sens la pression monter d’un cran. Ce silence est presque stressant. J’ai l’impression de n’être plus qu’un cœur qui bat tellement les pulsations me paraissent résonner dans mes tempes. J’ai ce bizarre sentiment d’être kidnappée alors que je suis là de mon plein gré ! Laissant les vignes derrière nous, la route sinueuse est bordée maintenant d’une épaisse forêt de feuillus parsemé d’épineux. Elle est étroite comme toutes les routes forestières. L’environnement me rappelle ma région natale avec les faux jours dans lesquels jouent les rayons du soleil ! Je souris. Walter le remarque et enfin m’adresse la parole : - Enfin vous vous détendez ! Je me demandais si vous alliez rester en apnée ou si vous alliez respirer avant l’arrivée au Château ! Eh… on ne va pas tout de même pas vous manger, quoique… Il éclate de rire. Et d’ajouter devant mon regard un peu gêné : - Nous y voilà ! Nous sommes arrivés ! Là, le chemin s’ouvre et laisse place à la propriété. Je ...
... m’enfonce un peu plus dans le siège arrière. Le véhicule passe les grilles du portail que le Marquis a si savamment décrit dans l’un des épisodes des Origines de la Saga année 1784. Le gravier de la longue allée bordée de massifs et de pelouses bien vertes, crisse sous les roues de la voiture. Cette dernière ralentit puis s’arrête devant l’entrée. Là aussi, je reconnais les marches si bien décrites par Monsieur le Marquis. Walter coupe le moteur et descend de la voiture et m’ouvre la porte. - Bon. Et bien, bienvenue au Château, Jeune Dame, me lance-t-il avec un sourire mi-goguenard, mi-vicieux lorsque descendant du haut siège, qui découvre mes cuisses, le haut de mes bas et ma chatte nue. - Je sens que Monsieur le Marquis va bien s’amuser avec toi ! Là, je le regarde avec un air anxieux et je rougis en baissant la tête pour essayer de me réajuster mais en vain. Le soleil chauffe doucement mon intimité toujours bien exposée au grand jour. Il reprend : - Oui, oui, oh oui tu peux l’être honteuse ! Ton visage est tellement lisible ! ha ha ha ! Je suis tétanisée, figée sur place dans l’encadrement de la porte du 4x4. Walter s’avance vers moi et tend le bras vers moi pour m’empoigner mais tout à coup des pas sur le perron. Je vois sur le côté une silhouette imposante qui s’approche, descend rapidement les marches et s’avance d’un pas franc et sûr vers nous. - Voyons voir qui arrive ! Mais c’est Christine ! dit Monsieur le Marquis d’une voix chaleureuse ! Chère demoiselle, ainsi donc enfin ...