1. La parenthèse


    Datte: 20/02/2018, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail amour, volupté, facial, Oral pénétratio, fsodo, jeu, humour,

    ... Après-demain ? C’est ainsi que j’ai visité la région en détail… Au début, de deux à trois fois par semaine ! Épuisant, l’exercice ! Insatiable, la Loreline, exploitant toutes les situations, s’amusant à me surprendre, telle par exemple une fellation sublime, moi debout, dans une cave à vin ! Reste que tous les appartements n’étaient pas meublés, et nous avons dû nous adapter. Quand on aime… À deux ou trois reprises, elle a accepté de venir chez moi. Un peu de confort de temps en temps… Mais pas à l’aise. « Les voisins, tu comprends… » o-o Puis, un jour, elle décida que la parenthèse devait se refermer, d’autant que de mon côté je rencontrais une nouvelle compagne. Il n’est de belles histoires qui n’ont de fin. Il arrive un moment où chacun reprend sa route, où les détours deviennent périlleux, à l’avenir incertain. Comme elle avait pris l’initiative du début elle prit celle de la fin, en femme de tête qu’elle est avant tout. Les sentiments venaient prendre le relais de l’harmonie de nos corps et ça… ça elle ne pouvait… trop de conséquences. Gentiment, avec beaucoup de précautions, elle me dit un jour, alors que nous récupérions, lovés l’un contre l’autre d’une étreinte particulièrement chaude : — Stéph, ne m’en veux pas mais, tu sais, enfin tu vas comprendre, toi et moi il faut espacer nos petits rendez-vous… ça va trop loin.— Je m’y attendais un peu… on ne s’est rien promis, alors… ai-je répondu dans un souffle, la gorge serrée. Et maintenant que j’ai quelqu’un… Loreline ...
    ... s’était redressée et allongée sur moi à m’étouffer, avant de poursuivre, bouche contre bouche : — Rien à voir ! Écoute, écoute-moi bien… Voilà, je t’aime, gros bêta ! Et sa tête dans mon cou, le souffle court, elle s’était laissée aller à sangloter. Parcouru de frissons, je l’avais serrée très fort. Chez moi aussi, tout doucement, sans vouloir y croire, mon amour s’était forgé, et j’étais conscient malgré tout que trop de choses nous séparaient. Trop tard, nous nous sommes connus trop tard… Elle s’était levée et sans me regarder s’était rhabillée en silence. Enfin, alors que nous nous apprêtions à quitter les lieux, elle s’était jetée dans mes bras. — Si on continue, avait-elle repris, ses mains autour de ma taille, je risque de faire une grosse bêtise ! Dommage ! C’est con la vie, parfois… Que dire ? Même si ça fait mal, elle a raison. La raison justement l’emporte sur les pulsions puis sur des amours aléatoires. Tout casser de son côté, lâcher la proie pour l’ombre, lui était impossible, et je le savais. Garder le souvenir du meilleur est peut-être la moins mauvaise des solutions. À mon tour j’avais pris sa tête entre mes mains, et elle s’était renversée en arrière, le corps tendu vers mon ventre. J’avais murmuré, la bouche sèche : — Bien sûr que je comprends… On ne se reverra plus, alors ?— Oh si ! Si tu veux, mais moins souvent, de temps en temps, quand vraiment… À la carte, en quelque sorte. Pourquoi pas ? Quand vraiment, comme elle dit, l’envie devient trop forte, les ...