La parenthèse
Datte: 20/02/2018,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
amour,
volupté,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
humour,
... Soudain, elle s’arrête, mains sur les hanches et m’interpelle en riant. — Eh ! Mais tu n’écoutes rien ! Ça ne te plaît pas ?— Si, si, mais… soupiré-je malgré moi, conscient que je devais la décevoir.— Mais, mais quoi ? me coupe-t-elle en renforçant son sourire.— Ben, c’est sûr que c’est la commerciale que je vois d’abord, à en oublier ce qu’elle vend ! Je suis impressionné… Tu as du talent ! Tu vendrais de la glace à des esquimaux ! Pour toute réponse, elle me tire la langue d’un air effronté et hausse les épaules. Puis elle vient vers moi, se faisant chatte. D’un doigt elle me martèle la poitrine et ajoute, le regard changé, la voix un peu éraillée : — Toi, toi, attention… Bon, allez, on finit la visite, il reste la chambre à voir ! Et elle m’entraîne en me prenant la main. Le contact est chaud, délicieux, tendre. L’impression que, complices, nous allons nous jeter sur le lit pour une étreinte furtive. À nouveau mes jambes en coton, le cœur qui bat. La chambre ! Sa main se crispe un peu quand nous y entrons, et je lui rends ce que j’interprète comme un appel, en serrant plus fort la mienne. Une brusque moiteur de ses doigts, un frémissement en retour m’alertent et je ressens un début d’érection. « Stéph ! On se calme ! pensé-je, troublé ». Grands dieux ! Je ne rêve pas ! Si ce n’est pas une invitation ! Et ce serait là et maintenant ? Quelques instants où, silencieux, nous observons la chambre, toujours main dans la main. Hésitant, je pense qu’il faut peut-être tenter ...
... quelque chose, mais elle me lâche enfin et reprend ses explications en soupirant. — Tu vois, la chambre est grande… On peut y mettre à la place du 140 cm qui est là, un plus grand lit. Un 160 cm ou même un 180 cm. Moi, par exemple, j’aime bien les grands lits, et toi ?— Oui, moi aussi ! Pour les grandes manœuvres, c’est mieux ! J’ai dit ça en riant, un brin provocateur. Feignant l’étonnement, elle réplique sur le même ton en me saisissant le bras : — Les « grandes manœuvres » ? C’est-à-dire ? Des cochonneries sans doute ?— Tout à fait ! Avec un 180 cm, j’imagine… murmuré-je, hilare.— Tu imagines ! Tu as fait, oui ! Je commence à te connaître, tu sais, coquin ! Ses yeux me toisent, j’y lis comme un défi. Cette fois je me sens au pied du mur… Un flottement. Attend-elle que je la renverse ? Mais non ! Un jeu, rien qu’un jeu. Je n’ose pas franchir le pas, la peur d’un geste de trop, ce serait idiot… Préférant rester dans cet échange subtil, je réponds en riant : — Oui, je suis un coquin, mais gentleman… Par exemple, je ne t’invite pas à l’essayer, ce lit ! Ni même à s’asseoir au bord…— Ben voyons ! Il ne manquerait plus que ça ! s’esclaffe-t-elle, tout sourire. Et qui te dit que je j’accepterais ?— Justement, comme je ne sais pas… dis-je platement en levant les bras d’impuissance. Pour moi, difficile de faire mieux, d’aller plus loin… Si je n’ai pas de « retour » c’est fichu ! Loreline s’est reculée et m’observe en souriant. J’ai la tête en feu et le reste aussi… et ça doit se voir. La ...