1. La parenthèse


    Datte: 20/02/2018, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail amour, volupté, facial, Oral pénétratio, fsodo, jeu, humour,

    ... balle est dans son camp, le temps semble arrêté. Maintenant tout peut arriver, tout ne tient qu’à un fil, à un regard, à un geste de sa part. Mais elle secoue ses cheveux, lève les yeux au ciel et lâche : — Les hommes ! Tous pareils ! Mais jamais on ne m’a fait la cour comme ça ! Je disais bien : tu es un coquin, un gentil coquin… Si je n’étais pas mariée… Confus, j’accuse le coup. Fichu, disais-je. Un échec. Le bide. J’espère malgré tout ne rien avoir gâché. Je l’aime bien, Loreline, et c’est réciproque… Maintenant, il faut me ménager une « sortie » honorable. Je choisis de revenir sur la visite, pour éluder cet instant trouble. — Cela dit, cet appart’, pas mal, finalement ! Loreline esquisse un sourire et s’approche à me toucher. Ses yeux se lèvent et cherchent les miens ; je remarque ses lèvres humides et un léger tremblement qui les anime. Le souffle un peu court, elle reprend : — On y va maintenant ? Je t’ai tout montré, tu réfléchiras. Mais je crois que c’est une bonne affaire. En location ce serait un bon placement… Nous retraversons l’appartement sans mot dire et je pense que tout est fini. Bah ! J’aurai flirté avec mon fantasme, c’est déjà bien. Une douce torture ! Mais je m’en veux. À l’instant, dans la chambre, je l’ai sentie prête ! Enfin je crois ! Zut et zut ! Je l’aurais simplement, par exemple, prise par les épaules, hein ? au moment où elle s’est approchée, on aurait bien vu ! Ah ! Je suis un c… ! La rage au cœur, je la suis pour sortir. Parvenus dans ...
    ... l’entrée, elle entrouvre la porte tout en cherchant le fameux disjoncteur. Clac ! Obscurité soudaine. Je sens un frôlement puis un nouveau clac, celui de la porte qu’elle a repoussée. Réalisant qu’il se passe « quelque chose » je balbutie : « Lore ! » avec pour écho un « Tais-toi, tais-toi ! » Une masse chaude et palpitante me pousse alors contre un mur, je sens un souffle puis une bouche qui s’empare de la mienne. Fougueuse, sa langue m’envahit et nous échangeons un baiser sauvage, éperdu, où nous luttons dents conte dents, langue contre langue. Une gourmande, la Loreline ! Je n’en reviens pas. Ses mains me parcourent, déboutonnent ma chemise, palpent ma virilité à travers le pantalon. À pleines paumes, je lui caresse les seins, dégrafant à mon tour son chemisier. Haletante, elle poursuit le baiser, profond, passionné… — Lore ! Mais… dis-je, débordé et surpris.— J’te laisse pas repartir comme ça ! souffle-t-elle. Tu m’as énervée… j’en peux plus, je suis trempée, cochon ! T’as rien compris ! Je te voulais ! Ah, t’es un idiot !— Moi aussi… mais j’osais pas, je…— Bouge pas, je te viole, j’adore, c’est moi qui fait… ajoute-t-elle en me mordant les lèvres. « Enfin ! » me dis-je, brusquement surexcité, alors que d’une main experte elle déboucle ma ceinture et me fait tomber le pantalon aux chevilles. Un rire, puis je sens mon slip glisser, libérant ma virilité épanouie… et empoignée fermement ! Dans un long frôlement, sa tête, ses cheveux glissent et descendent, descendent… et soudain sa ...
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