1. La parenthèse


    Datte: 20/02/2018, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail amour, volupté, facial, Oral pénétratio, fsodo, jeu, humour,

    ... bouche m’engloutit. C’est voluptueux, chaud, je me cambre de plaisir. Elle me suce doucement tout en me masturbant, elle joue de la langue, des lèvres et laisse échapper des petits cris étouffés. Nous sommes toujours dans le noir de l’entrée, tandis qu’un rai de lumière parvenant de dessous la porte crée une lueur blafarde. À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Moi aussi je veux la caresser et la voir… Doucement je la relève, l’attirant contre moi. Elle gémit et love sa tête contre ma poitrine. — Dans la chambre, emmène-moi dans la chambre, murmure-t-elle. Le temps de me débarrasser du pantalon, Loreline s’est enfuie en riant. Je la rejoins et c’est le choc ! Je la retrouve sur le lit, en slip, chemisier ouvert… et à quatre pattes, m’attendant, l’œil coquin ! — Hein ? Comme ça ? Tu veux, comme ça, tout de suite ? dis-je surpris, alors que j’aurais souhaité un préalable plus romantique. Elle remue les fesses, écarte sa culotte et me jette d’une voix grave que je ne lui connais pas : — Pas de prépa, une autre fois… Je suis archi-prête, viens, prends-moi ! Et attends, pour finir, je te veux dans ma bouche, entre mes seins, hein, d’accord ? Oh là ! Quel programme ! Qui m’aurait dit que la douce Loreline était une adepte de ce genre ? Comme quoi… Mais j’espère pouvoir en débattre… Une autre fois, parce que, clairement, elle envisage d’autres fois… Ah, la coquine ! Quel bonheur ! Comme je la pénètre entre ses fesses de reine, elle geint, et d’elle-même imprime un mouvement ...
    ... soutenu. Quelle amante ! C’est juste serré et, parfois, ça va trop loin, ce qui lui tire des « doucement, doucement… ». La tête dans un oreiller, les yeux fermés, elle goûte pleinement ces moments magiques, se passant et repassant la langue sur les lèvres. Sa jouissance vient soudain, elle râle doucement, le ventre parcouru de longs spasmes. Elle me stoppe alors, restant cul en l’air à récupérer quelques instants. — C’est trop bon… murmure-t-elle, ne bouge plus, je te sens bien… je vais m’occuper de toi maintenant, tu vas voir ! Loreline se dégage souplement et, sur le dos, à demi assise, m’invite à la rejoindre. Elle dégrafe son soutien-gorge et libère deux petits seins bien formés, les tétons dressés. Des seins comme je les aime, en pomme, constellés de grains de beauté. Elle m’attire par les fesses et m’embouche goulûment tout en se caressant la poitrine et en me malaxant les bourses. Visiblement amusée, elle rit, me lâche, me reprend. — Il faut vider tout ça, c’est plein ! commente-t-elle. La position est hyper-excitante et Loreline m’encourage : — Allez, viens, viens, donne-moi du miel ! Enfin, je vais me libérer. Elle le sent, devient plus douce, fait durer, sa bouche, sa langue se font légères dans une caresse à peine appuyée. Le premier jet la surprend mais, aussitôt après ses mains me plaquent sur sa poitrine que j’asperge largement. D’un geste elle me montre qu’elle va avaler. Les yeux plissés, elle déglutit en faisant la grimace. À nouveau, je n’en reviens pas. Pas ...
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