1. Au bon vin


    Datte: 18/06/2017, Catégories: Humour, Première fois Inceste / Tabou

    ... trouvaient un réchaud, des outils, un matelas. Je vis que Bezons avait idée d’user de ce dernier n’ayant cure de la propreté. Je protestai que l’endroit était dégueulasse. Je le moquais. Je ne ressemblai en rien aux putes qu’il emmenait ici. Son regard devint noir. « Ton père est de mes amis. Tu devrais avoir honte. Allez ne fais pas de manières ». Je fus soufflée de tant d’audace et d’impudence.>>> J’oublie de dire que mon papa était le maire du village. Le pauvre eut toujours à souffrir d’une fille dépravée qui l’exposait à tant de moqueries. Bezons avait frappé juste. En un instant il fit venir mes larmes aux yeux. Je ne supportais pas qu’on insulta mon père. Je vis pourtant que je ne le méritais pas et que j’étais comme un poids déshonorant pour lui. Bezons me signifiait que je me donnais à trop de crétins et qu’il les valait bien. Je baissais la tête comme pour cacher mes larmes. Je n’avais plus rien de la superbe amazone de tout à l’heure. J’en avais depuis rabaissée. J’entendis le bruit significatif d'une fermeture éclair. Il avait ouvert sa braguette m’intimant de me jeter à ses genoux.>>>> J’obéis comme une automate à ce geste tant de fois répété. Soumise je me mis en prière devant ce maître et dieu. La queue était petite. En une autre circonstance j’eus ris. Là j’allais désœuvrée à mon métier. J’étais mise à l'épreuve. Je me devais de lui offrir le meilleur de moi-même, tout mon talent. Peu importe le flacon. N’avais-je pas recherché la première bite venue ? Pour ...
    ... me punir on avait voulu que ce fut celle de l'immonde Bezons. Peut-être ce dernier avait-il su avant tout mon dessein et s’était rangé sur le chemin ? Du jour où je l’avais moqué devant les autres il s’était promis de m’att****r et de se venger. Sa main se jouait dans à présent dans mes cheveux.>>> Je me consolais vainement que des amies avaient été aussi possédés par cet homme. D’ailleurs je fus à peine flattée qu’il ajouta que je suçais mieux qu’elles. Toutefois il voulut davantage. Sa main depuis s’était hasardée sous ma robe pelotant tour à tour mes cuisses puis mon cul. En grognant il arracha lestement la culotte qu’il jeta vers la porte. Je trouvais son geste déplacé. Cette culotte que j’avais acheté il y a peu avait quelque prix. Il perçut mon trouble ce qui augmenta son plaisir. A présent il me jetait contre la paroi du local et s’employait avec ses mains à me caresser et me parcourir. A genoux il immergea sa bouche entre mes fesses dévorant goulûment chacun des deux orifices.>>> Ce porc usait parfaitement de sa langue. Je fus inondé d’un plaisir inconcevable. Je me réveillais à moi même. Il était hors de question que je ne fus foutue sur le champ. Le brasier allumé devait être éteint par ce coupable et irrémissible pyromane. Je me cambrais pour le recevoir. En un instant sa queue fut introduite au tréfonds du sexe. Je goûtais qu’il fut précis et violent à chaque assaut. Il soufflait comme un porc ponctuant chaque coup de rein de mots plus orduriers que les autres . Le ...
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