1. Au bon vin


    Datte: 18/06/2017, Catégories: Humour, Première fois Inceste / Tabou

    ... contrat était rempli. J’étais sautée cette après midi comme je l’avais espéré. Encore que mon amant ne cadra pas avec mes habitudes. Le mâle était vieux et était ami de mon père. Je transgressais.>>> On m’avait dit que ce vieux était résistant et impossible à fatiguer. Sur le vieux matelas je fus prise en effet plusieurs fois. Il finit alors par mes fesses ruinant mon petit trou. Enculer est le truc de ces vieux. Ils espèrent par là humilier toute jeune fille. Il m’intima avec un sourire sadique à le sucer et à lui nettoyer la bite maculée de sperme et des pollutions de mon cul. J’obéis presque ahurie. Abasourdie de la nouveauté de la situation. Tout cela dut durer près d’une heure. Nous refîmes le chemin à l’envers traversant le même paysage désolé de ce terrain vague. Cette fois il avait le ton patelin. M Bezons était un homme très cultivé. On appréciait pour cela sa compagnie de lettré.>>> Je fus choqué pour lors du ton paternel dont il usa justement pour me parler de mon père. Il me confia que mon attitude désolait celui-ci. Il me dit que j’avais trop de mauvaises fréquentations. Je méritais mieux que ces gueux et petits voyous. Ce salaud prêchait pour sa paroisse. Je ne devais me concentrer que sur de bonnes et authentiques relations. Il voulait qu’il ne fut que mon seul amant. Je n’étais pas dans le coup ce jour-là. J’aurais du l’envoyer balader. Derrière un arbre avant de me laisser il m’obligea à l’embrasser tandis que sa main courrait sous ma robe. Prévenant mon ...
    ... dépit il me dit qu’il m’amènerait la prochaine fois une culotte de dernier cri. Il éclata de rire et disparut.>>> Il devint à partir de ce jour mon amant. Il voulait faire de moi une grande dame. Il m’emmena la fois suivante à l’hôtel. J’eus droit à être habillée dans de sous vêtements de qualité. Je me rêvais en pute. Ce rêve était réalisé. Cela dura toute une année d’initiation et de dépravation. Il me fallut du temps pour comprendre que cet homme se vengeait sur moi de la supériorité d’un père. Il se disait ami sincère de celui-ci et prostituait sa fille. En partie et à cause de cela je me résolus un jour à fuir et à accepter le recours au pensionnat. M Bezons tacha de s’y opposer en s’insinuant dans les réflexions de mon père. Heureusement il eût son accident de coeur.>>> Hospitalisé durant deux mois, frôlant la mort il ne put empêcher l’oiseau que j’étais de fuir hors la cage. J’étais libre. Je renouais avec mon destin. Alors que je revins et rencontrais mon mari, je le croisais un matin au sortir de l’église. Il avait un regard atone encore affecté de sa maladie. Il n’avait plus l'esprit à la bagatelle. On avait éteint l’étincelle le feu de son regard. Au bras de mon mari, je dépassai le bougre le dédaignant. Il me rappela aujourd'hui ce dédain m’avouant qu’il en avait été blessé. Signe de son entrée vraie dans la vieillesse. D’une certaine manière il avait été fou de moi quoiqu’il en su. Ce fut son dernier mot, son dernier aveu. Mon mari passa la tête et me dit qu’il était ...
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