Voyeuses et amoureuses
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Masturbation
Lesbienne
Résumé : après avoir connu une première expérience un samedi soir, le dimanche est passé à une vitesse incroyable, ne faisant qu’explorer nos corps et nos sensations. _______________________________________ Il était deux heures et demie du matin lorsque j’ouvris les yeux. Je jetai un petit coup d’œil au réveil, qui me confirma qu’il n’était pas l’heure de se lever. J’éteignis la lampe qui diffusait une petite lueur dorée dans la chambre. Les volets n’étaient pas baissés et les lumières de la rue venaient maintenant éclairer les murs. Isabelle n’avait plus qu’une jambe sous la couette, l’autre était passée par-dessus, me permettant de voir son galbe, d’admirer la douceur de sa peau. Le haut de la couette était aussi un peu repoussé, et je pouvais aussi me régaler de son ventre, de ses deux seins, posés sur son corps, tranquilles, excitants. La faible lueur bleutée de la rue faisait jouer des ombres sur son corps, et je ne pouvais détacher mon regard de ses formes, pâles et bleutées, imaginer ses reliefs cachés dans l’ombre. J’avais à nouveau faim. La journée n’avais pas été des plus équilibrées pour notre alimentation. Je me glissai le plus silencieusement et doucement possible hors du lit et me dirigeai alors vers la cuisine. Pas de volets baissés non plus ici et je me plus à déambuler nue dans cette quasi-obscurité. Je m’approchai de la fenêtre et regardai les réverbères distribuer leur lumière blafarde dans cette rue encore déserte. Mon estomac me rappela l’objet de ma ...
... visite et j’ouvris le frigo. Quelques légumes frais, de la viande, des jus de fruit. Je me décidai à me servir un jus de pomme pour retrouver de la fraîcheur en bouche. Après avoir bu, je pris quelques petites carottes et les grignotai, accoudée à la porte du frigo. Après ce frugal interlude, je réinspectai les rayonnages frais, éclairés par cette lumière presque brutale. Il n’y avait plus rien de plaisant pour cette heure avancée de la nuit, sauf une bouteille de lait, ouverte vendredi. Je souris en la voyant, repensant immédiatement à la réflexion d’Isabelle sur sa source d’approvisionnement. Je baissai la tête pour jeter un petit coup d’œil à ma poitrine. Elle lui plaisait, elle aimait la prendre dans sa bouche et j’adorais quand ses lèvres enveloppaient mes mamelons, les léchaient. Mes yeux descendirent encore et tombèrent sur mon pubis, nu, lisse. Il semblait si beau lui aussi avec cette lumière. Je passai rapidement un doigt sur ma peau pour retrouver cette délicieuse sensation de pouvoir me toucher, recevoir les caresses. C’était divin et, dans ma tête, Isabelle était toujours présente. J’avais envie de la voir, de lui dire mon amour, d’avoir du plaisir. Je revins dans la chambre sur la pointe des pieds et vins m’asseoir sur mon fauteuil, entre ma commode et la fenêtre. La lumière était toujours pâle, bleutée, et je profitai du moment de silence, de calme. Quel contraste avec la folie sexuelle de la journée qui venait de s’écouler ! Mais cette folie sexuelle, mon désir ...