Voyeuses et amoureuses
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Masturbation
Lesbienne
... je t’aime ! Sa bouche était plaquée à mon sexe et elle jouissait, essayant de retenir ses gémissements dans ce qu’elle avait trouvé de plus doux. Mes mains étaient dans ses cheveux, et je profitais du moment, de sa chaleur contre moi. Elle glissa sa langue le long de ma fente, puis reposa sa tête sur mon pubis pendant qu’elle retrouvait sa respiration. Le réveil indiquait presque trois heures du matin. Isabelle se leva et prit ma main pour m’inviter à la suivre. Elle était fascinante dans cette lumière. Une fois debout, elle se retourna rapidement et m’embrassa et m’enlaçant. Ses mains caressaient mon dos, mes hanches, mes fesses. Je ne me retins pas de l’imiter, remontant une main dans ses cheveux et laissant traîner l’autre en bas de son dos. C’était un réel plaisir de retrouver ses lèvres, sa langue délicate, ces jeux qui me faisaient fondre au plus intime. Ses seins qui retrouvaient leur place, sur les miens, eux si fermes, si excitants lorsqu’ils étaient dans cet état. — Je sais que ça va vite, mais… Sa bouche avait quitté la mienne et elle avait posé son front contre le mien, son nez sur ma peau, sa bouche effleurant mes lèvres… j’avais peur de ce qu’elle voulait me dire, mais je l’attendais aussi, l’espérais presque. — Je t’aime ! Je suis heureuse avec toi. Je ne la laissai pas aller plus loin et reposai mes lèvres dans un baiser d’amour, essayant de lui apporter la tendresse qu’elle m’exprimait, essayant de lui rendre la douceur et la sensualité de ses ...
... étreintes, de ses caresses. Oui, ça allait vite ! Nous nous étions rencontrées il y a dix jours, embrassées la veille et avions fait l’amour quasiment sans discontinuer depuis. J’étais heureuse aussi, et sexuellement plus que jamais. Mais au fond de moi, je me disais qu’un marathon du sexe ne fait pas une vie commune harmonieuse sur le long terme. À cette heure avancée, ces pensées n’étaient pas prioritaires, et je me laissai aller à sa langue caressant la mienne, à son ventre, sa poitrine contre ma peau, à caresser ses fesses dans la nuit. Après quelques minutes de baisers tendres, je la guidai vers le lit. — Il est tard, ou tôt. On a plein de trucs à faire demain. Ce serait mieux qu’on dorme un peu. Elle était d’accord. Après un terrible baiser dans le cou, elle descendit sa bouche jusqu’à mon sein, laissa tourner sa langue autour de mon téton qui se mit immédiatement au garde-à-vous. Et, se redressant, me souffla : — Je veux bien dormir, mais demain, ce sera terrible pour toi ! J’ai envie de toi comme jamais j’ai eu envie de quelqu’un ! C’était, encore une fois, une sacrée déclaration. Allongées dans le lit, l’une contre l’autre, je posai ma tête sur son épaule et laissai descendre une main sur son nombril tout d’abord, puis, petit à petit, plus bas, plus bas encore. Elle écarta un peu ses cuisses pour que ma main trouve une position confortable. J’épousai son sexe de mes doigts et la nuit reprit ses droits, nous laissant reprendre un sommeil bien nécessaire. ...