1. Voyeuses et amoureuses


    Datte: 21/02/2018, Catégories: f, ff, fépilée, Masturbation Lesbienne

    ... continuer ma masturbation. J’y étais presque ; encore quelques mouvements dedans, dehors, ma paume sur mon clitoris appuyant dessus, mes doigts jouant sur mes chairs liquides, retrouvant mon vagin, s’y jetant avec avidité, luxure. Je continuais mes mouvements ; ce n’étaient plus des caresses : je me branlais, je me pénétrais. Je baissai enfin la tête contre mon épaule pour assourdir ma jouissance et j’explosai dans la nuit, voyeuse sans honte, exhibitionniste intime. Je descendis ma deuxième main pour cacher mon sexe, pour recueillir mon jus et redescendre doucement en jouant délicatement avec mon sexe, le temps que ma respiration retrouve un rythme et une intensité normale. Je fermai les yeux, satisfaite de cette petite séance de plaisir solitaire, heureuse d’avoir Isabelle comme complice involontaire, comme support de mon plaisir. Un petit bruit me fit sursauter. Isabelle n’était plus sur le lit lorsque j’ouvris les yeux. — Ne bouge pas ! La voix venait d’en bas, de mon sexe. Presque. Isabelle s’était levée et agenouillée juste devant moi, son visage proche de mon ventre. La surprise passée, je lui demandai : — Tu es réveillée ?— Je te regardais te caresser. J’en suis restée interdite ! Je pensais avoir été voyeuse, et finalement, nous étions deux à ce petit jeu. Sa bouche se posa sur mon pubis. Ses lèvres étaient chaudes. Je sentis son souffle entre deux baisers. Sa joue qui venait caresser mes cuisses, puis effleurer mon sexe. C’était doux et agréable. — Tu sens bon, me ...
    ... dit-elle dans un murmure. Cette phrase était érotique et même romantique, en dépit de sa connotation charnelle. Elle avait posé sa tête entre mon ventre et mon pubis. Maintenant épilée, je pouvais apprécier la douceur de sa peau contre la mienne. Sa respiration aussi, qui était plus rapide que d’habitude. — Ça va ? lui demandai-je en posant ma main dans ses cheveux. Elle ne répondit pas tout de suite, mais posa un baiser léger sur le haut de ma vulve. Je reçus son souffle chaud, légèrement oscillant. Je la regardai mieux, et son bras droit remua doucement. Elle déposa un nouveau baiser dans le creux de ma cuisse et soupira. Je compris maintenant son absence de réponse. — Je vais me mettre un peu mieux, lui dis-je doucement. Je basculai mes hanches vers l’avant, essayant de libérer mon sexe du fauteuil, le laisser accessible pour mon adorée. Après ce très rapide mouvement, Isabelle reposa sa joue entre mes cuisses, sa joue contre ma vulve. Elle continua d’embrasser l’intérieur de ma jambe, et sa joue pressa délicatement mon sexe, me redonnant envie de son corps. Son souffle était plus profond et son bras bougeait plus régulièrement. J’imaginais ce que ses doigts faisaient, ce qu’ils touchaient, caressaient. Mais ne rien voir et la sentir se caresser entre mes jambes était finalement infiniment plus érotique. Nous étions dans la pénombre, et son plaisir montait. Je devinai plus que ne vis ses épaules. J’entraperçus ses seins, furtivement dans cette demi-obscurité. — Charlotte, ...
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