Voyeuses et amoureuses
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Masturbation
Lesbienne
... !— OK, merci Cath. Je te tiens au courant dès que ça ira mieux.— Pas de problème, repose-toi bien… TOUTE SEULE ! Et elle rit de nouveau. Après avoir raccroché, je me posai la question de savoir comment elle aurait réagi si je lui avais dit « Non, c’est pas un mec, c’est une fille et on a baisé tout le week-end ! » Je me remettais les barrières morales, là où il n’y en avait pas besoin, ou pas encore besoin. Mais le café était maintenant passé. Je préparai donc deux tasses, les posai sur le plateau et me mis en route pour la chambre, retrouver ma belle amante. Après avoir passé la porte, ce fut le choc. Isabelle était sur le lit, au-dessus de la couette, les cuisses écartées, des yeux encore endormis qui me fixaient. — Bonjour mon amour. Petit déjeuner ! On va essayer de manger de vrais aliments… Qu’en penses-tu ?— Que je suis bien avec toi…— En parlant d’être avec moi, il faudrait que tu appelles ton boulot, non ? Un petit voile de tristesse passa sur ses yeux, mais après quelques secondes elle retrouva son regard gourmand et fixa l’intérieur de mes cuisses. — Je vais faire ça tout de suite… me dit-elle en regardant mes seins puis entre mes cuisses. Ce serait dommage de laisser ces trucs-là sans surveillance, à la portée de n’importe qui !— J’en suis convaincue ! lui dis-je en écartant un peu mes cuisses, histoire de lui donner encore un peu plus envie. Tu peux prendre le téléphone qui est dans le living si tu veux.— Non, c’est bon, je vais bien retrouver mon portable ! ...
... Elle se retourna, se leva, et se dirigea vers la porte de la chambre en ondulant des hanches d’une manière ostensiblement exagérée, et faisant ressortir ses fesses. — Je te mangerai juste après ! lui dis-je pour qu’elle se dépêche un peu. Je me mis à l’aise sur mon lit et rapprochai le plateau. Le café était tiède, mais je n’avais pas envie de le réchauffer. Je commençai donc à manger. J’entendis au loin la voix d’Isabelle. Mais la discussion semblait se hacher, se tendre. Isabelle n’avait plus sa voix tranquille. Le volume montait petit à petit et je commençai à m’inquiéter. Est-ce que notre ami Macho-Man était au bout du fil ? Si oui, que faisait-il ? Était-ce de la menace, du chantage ? Je me levai et me dirigeai vers la porte de la chambre en essayant d’écouter ce qu’il se disait. — Je ne veux pas être gentille ! Ce sera les prudhommes ou le commissariat ! Sa voix était nerveuse, apeurée. Je retrouvais avec angoisse cette Isabelle sortant de l’ascenseur paniquée, affolée. Sa respiration était à nouveau saccadée, mais ce n’était pas notre plaisir qui la mettait dans cet état. — Non ! cria-t-elle… Vous n’avez pas le droit… je me battrai ! Et je ne suis pas la première. Elle raccrocha, en pleurs, ne sachant pas quoi faire ni de ses mains, ni de son corps. J’imaginai son esprit à l’abandon et me précipitai contre elle, l’enveloppant de mes bras. Elle se laissa aller, pleurant toutes les larmes de son corps, sanglotant comme une enfant perdue. Je ne savais pas encore quoi faire ...