Alain & Pascale - Le Matelot
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
fhh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
grossexe,
vacances,
bateau,
toilettes,
amour,
volupté,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
... pamplemousses de Floride, qui avaient agrémenté ses branlettes d’adolescent. La vie, pour Guido, n’offrait plus grand chose en matière de rêve. Il avait espéré faire des études d’ingénieur, comme un de ses lointains cousins dont il enviait l’Alfa Roméo et la vie confortable. La mort de son père l’avait conduit à prendre le premier travail qui s’était offert pour soutenir sa mère et ses frères et sœurs. Des vieux skippers, à Nice et ailleurs sur la Côte d’Azur, Guido en connaissait une dizaine. Des années à briquer le pont en teck massif des yachts qui s’ennuient à l’ancrage, à mater les poules de luxe que ramenaient les propriétaires. Au mieux, une femme à terre, quelques enfants qui grandiraient avec leurs propres rêves, l’alcool pour tenir… C’est pourquoi il faisait maintenant des efforts désespérés pour ne pas exploser dans le sexe brûlant qui enserrait son chibre. Respirant à fond, serrant les fesses, Guido profitait à fond de cette occasion inespérée. Soudain, Alain se redressa dans son fauteuil. Pascale le fixait en suçant son pouce, le regard implorant. Le signal était sans équivoque. Il se leva, batailla quelques secondes contre la boucle de son pantalon qu’il laissa tomber sur le sol, suivi de son caleçon. Son sexe était dressé, lourd et obscène, un filet de liquide séminal filant vers le sol. Il monta à genoux sur le lit et attrapa la jeune femme par les cheveux, presque brutalement, et enfonça son sexe dans la bouche avide. Il cria, brusquement aspiré au bord de ...
... la jouissance. La langue de Pascale avait entrepris une sarabande effrénée autour de son gland, alors qu’elle se décrochait presque la mâchoire pour prendre toute la longueur du sexe de son amant dans sa bouche. Jamais elle ne l’avait sucé ainsi, avec autant de voracité et d’abandon, ses mouvements répliquant les coups de reins de celui qui la fourrait sauvagement. S’accrochant au sexe d’Alain de la main droite, elle envoyait sa main gauche entre ses cuisses, agaçant son clitoris du poignet en prenant dans la coupe de ses doigts les testicules chargés d’orage de Guido. Le sexe d’Alain violait sa bouche avec ferveur, butant dans sa gorge qu’elle ouvrait, respirant profondément pour éviter les haut-le-corps. De se sentir ainsi prise aux deux extrémités de son corps, brutalisée par les mains de Guido sur ses hanches et celles d’Alain qui empoignaient ses cheveux pour mieux voir ses lèvres enserrer son chibre et lui pincer les tétons, Pascale se sentait complètement ouverte aux émotions que les deux hommes déversaient en elle. Elle sentait bien la frustration, celle de Guido qui n’aurait jamais cru faire l’amour à une femme comme elle, et puis celle d’Alain, plus ancienne, qui paradoxalement le faisait bander comme jamais elle ne l’avait fait bander. Pascale enserra les burnes de Guido, qui étaient remontées jusqu’au périnée, se frotta un peu contre son bras qui passait entre ses cuisses. Son poignet était trempé de cyprine et de ses doigts elle jaugeait presque sans y croire ...