Alain & Pascale - Le Matelot
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
fhh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
grossexe,
vacances,
bateau,
toilettes,
amour,
volupté,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
... l’épaisseur du piston de chair qui coulissait en elle, la bouleversant jusqu’à l’âme. Pascale se laissa soudain déchirer par l’orgasme, tétanisée par le plaisir et la honte, se répétant intérieurement en boucle "Je suis une salope, je suis une salope…", au bord de l’évanouissement. En même temps, Guido, en sentant les doigts de la jeune femme s’enrouler autour de ses burnes et griffer son entrejambe, décida que sa chevauchée s’achèverait bientôt. Improvisant un final digne des meilleurs pornos, il viola l’œillet de Pascale d’un pouce hâtivement couvert de salive, avant de lâcher tout son plaisir en quelques coups de reins pleins de revanche. En se vidant à longs jets brûlants dans le sexe qui se crispait autour de lui, Guido manqua de perdre connaissance. L’oxygène lui brûlait les poumons comme après avoir couru un marathon, et il lui semblait que son cerveau s’arrêtait, comme s’il avait atteint le nirvana. Le sexe fiché dans la gorge de Pascale, Alain fut bouleversé par les vibrations que faisaient naître les cris étouffés de la jeune femme. Comme si sa moelle épinière ...
... s’arrachait, il gicla en criant, les tripes nouées par l’intensité de son orgasme. Toutes ses frustrations s’épanchaient et se dissolvaient dans les jets de sperme qu’il lâchait, presque en sanglotant, dans la bouche de la jeune femme. Sur ses lèvres mourait un prénom qu’il prononça silencieusement : "Prends, Sylviane, c’est pour toi que je jouis". En avalant la semence de son amant, Pascale frémit d’un nouvel orgasme, plus apaisé, presque intime, en se rendant compte que c’était la première fois qu’elle avalait le sperme d’un homme, et que, finalement, cela lui plaisait assez. Elle se demanda avant de s’effondrer si finalement elle ne tombait pas amoureuse de cet homme qui était assez sûr de lui pour la livrer ainsi à ses fantasmes. Le matin les trouva étonnés et radieux, pelotonnés les uns contre les autres, le drap remonté sur eux dans la fraîcheur de la nuit. Guido se demanda s’il n’avait pas passé les limites en dormant avec son patron, mais le salut cordial d’Alain le rassura. Une nouvelle journée commençait, et la vie, somme toute, réservait à chacun de bonnes surprises.