1. L'apprentie


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple,

    ... limite, car j’étais si belle et désormais si experte, si merveilleusement avide de sexe, que je pouvais contenter n’importe quel homme. Mais il me conseilla simplement de m’endormir et de ne pas m’en faire : rien ne m’arriverait, me répéta-t-il, que je n’aie voulu d’abord. Hélas, le lendemain, quand je me réveillai et que je cherchai son épaule pour m’y blottir, il me fallut me rendre à l’évidence : Vladim était parti ! J’attendis anxieusement son appel, mais ce ne fut qu’une heure après que je le reçus : il était désolé, mais ses affaires l’avaient, de manière urgente, forcé à prendre un avion pour le Japon. Je crus m’évanouir : comment pourrais-je supporter, après avoir été depuis trois mois rendue folle de sexe, après avoir appris à jouir tant et plus, après être devenue une vraie droguée qui ne pouvait plus se passer du membre de Vadim, et qui avait perpétuellement, dans le bas-ventre, des désirs chauds comme la braise, comme allais-je faire pour vivre une telle séparation ? Et dire que j’avais passé l’examen, et reçu ma récompense… Non, une telle séparation me brisait littéralement. La séparation Et c’est vrai : je vécus d’abord très mal cette période, malgré les dispositions que Vladim et moi prîmes rapidement. Vladim m’avait en effet plus que conseillé de ne rien changer à mes habitudes journalières : je me levais et prenais ma douche comme avant, je mettais autant de soin à m’occuper de ma forme physique et des soins à mon corps, je sortais habillée comme ...
    ... d’habitude, avec les tenues moulantes qui mettaient mes formes en valeur, mais bien entendu beaucoup moins explicites que mes « tenues d’intérieur » et je recueillais, comme avant, le regard admiratif des hommes que je croisais. Mais sentaient-ils que j’étais dorénavant seule ? Les commentaires et les propositions étaient bien plus nombreux qu’avant… Ce qui ne m’emplissait d’aucune fierté, mais me rendait triste : si avant, j’aimais ces « hommages », c’est que je retrouvais après le seul homme qui comptait pour moi, et qui pouvait apaiser les troubles que certains regards, certaines allusions faisaient naître. Maintenant, même si un très bel homme, en me croisant, me faisait sentir son désir, et qu’une certaine forme dans son pantalon en témoignait aussi, je restais seule… C’était pour cela aussi que, malgré l’insistance de Vladim dans ses mails et ses messages par internet, je répugnais à sortir le soir. Auparavant, sachant combien Vladim aimait voir les regards des autres me détailler, et fort bien habillée par les soins d’Edmonde, de robes qui suggéraient tout, j’aimais entrer au restaurant, ou dans les clubs, mon dos nu mis en valeur par une robe transparente qui laissait aussi voir mes seins et épousait mon corps. Mais c’est que j’avais la main de Vladim au creux des reins, et ainsi, je pouvais marcher orgueilleusement, le torse droit et la démarche souple, faisant tanguer mes hanches et se redresser ma poitrine. Sans lui, les clubs – surtout ceux dont la clientèle était surtout ...
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