1. L'apprentie


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple,

    ... masculine – me faisaient peur et malgré les conseils de Vladim, je n’arrivais pas, le soir, à sortir de l’appartement. Et puis, Vladim et moi avions souvent profité de certains lieux – comme les ascenseurs, ou les toilettes de club, pour faire l’amour – la peur que je ressentais d’être surprise, jupes relevées, pieds posés sur un rebord, tendant ma croupe cambrée pour que, debout, Vladim me prenne en levrette, augmentait encore son désir, et nous arrivions, dans ces moments de baise furtive, à jouir rapidement et souvent au même moment. Non, je ne me voyais pas retourner dans ces lieux si chargés de ce passé plein de plaisirs, sans lui… Toute ma journée était donc tournée vers le rendez-vous quotidien que j’avais, via internet et les webcams, avec lui. À Paris, il était dix-neuf heures quand je venais m’installer devant l’écran où j’allais le voir apparaître. À Tokyo, je savais qu’il était deux heures du matin : Vladim me donnait donc une nouvelle preuve d’amour en bravant, soir après soir, sa fatigue… Mais ces rendez-vous qui m’étaient si nécessaires étaient également éprouvants. Bien sûr, nous nous assurions de notre amour mutuel, je racontais à Vladim mes journées sans lui cacher les dragues que, dans la rue, les hommes m’adressaient. Lui me racontait que les japonaises également semblaient l’apprécier, et que parfois, au milieu de réunions de travail, il croisait des regards explicites – ce qui me remplissait de jalousie et me faisait souvent pleurer de rage. Vladim, pour ...
    ... me calmer, m’assurait que, malgré les forts besoins sexuels qu’il ressentait toujours, il n’aimait que moi. J’allais alors positionner la webcam et, prenant un gode ou simplement me caressant les seins et la chatte, je me masturbais longtemps devant lui, en suivant les indications qu’il me donnait : car je l’excitais, certes, et il n’était pas rare que lui aussi se mette à se branler devant l’écran. Mais ces séances ne m’apaisaient pas, au contraire – quand nous devions arrêter les ordinateurs, j’étais dans de tels états que j’en pleurais. Je dormais de plus en plus mal, et mes rêves étaient tous, sans exception, chargés d’un tel érotisme que lorsque je me réveillais, mon sexe était trempé… Mais Vladim n’était plus là pour, penchant sa tête entre mes cuisses et promenant sa langue sur tout mon sexe, en goûter la saveur acide… Au bout de quelques jours, j’avouais un soir à Vladim que ma frustration sexuelle, loin de diminuer, était rendue encore plus cruelle par les séances vidéo. Il me conseilla alors, le lendemain, d’aller me promener en forêt, pour tenter de me calmer. Il connaissait un endroit, dans une forêt de l’Oise, à une cinquantaine de kilomètres de Paris, où un carrefour forestier, nommé « la clairière du hêtre », comprenait un arbre, un grand hêtre, que je ne pouvais manquer : il était en effet contourné de telle manière qu’une femme, en s’y adossant, trouvait à la fois un rebord pour maintenir ses fesses et être à la hauteur exacte qui permettait à un homme de la ...
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