L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
fh,
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collection,
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... remontant précipitamment mes bretelles sur mes seins nus, je tournais les talons et m’enfuis en courant droit devant moi… C’était évidemment ridicule : je ne connaissais rien à cette forêt, et ma course était rendue encore plus difficile par les talons de mes chaussures. Mais je fuyais pourtant devant l’homme des bois, haletante, le cœur serré d’angoisse : j’étais persuadée qu’il allait me violer, s’il me rattrapait – et il me semblait bien entendre le bruit de ses pas derrière moi. J’avais si peur que je ne vis pas une souche du chemin, et tombai lourdement, en me tordant une cheville. Je ne pus que me retourner et ainsi couchée par terre, à demi redressée, les bretelles serrant mes seins en les rapprochant l’un de l’autre et en creusant encore un peu plus leur sillon, je levais la tête, paniquée, vers l’homme qui s’approchait calmement de moi. — Mademoiselle, je vous prie de m’excuser, je vous ai fait peur, et ce n’était pas mon intention. Je vous jure que je n’ai rien d’un violeur, que je ne vais pas vous agresser – mais vous étiez si belle tout à l’heure que je l’avoue, au lieu de continuer mon chemin, je me suis arrêté pour vous regarder faire… Comment vous prouver que vous n’avez rien à craindre ? Je vous en prie, laissez-moi vous aider. J’ai une petite cabane, à une minute à peine, où je pourrais vous soigner – en tout bien tout honneur, je vous le jure ! Me permettez-vous de vous aider à vous relever ? Préférez-vous que je vous ramène à votre voiture ? Vous êtes si ...
... menue que je pourrais vous porter dans mes bras, si vous le vouliez ? Sa voix grave et chaude était si parfaitement calme qu’elle me rassura un peu. Je sentis mon cœur battre un peu moins follement, et je remarquai que mon interlocuteur était un homme d’une force et d’une beauté exceptionnelle. Plus grand que Vladim, la figure moins singulière mais avec des yeux pénétrants, il semblait d’une force peu commune et pouvait très certainement, comme il me le disait, me soulever de terre. Pourtant je tins à me relever moi-même, mais au premier pas que je fis, la douleur fusa dans ma cheville. L’homme m’aida alors, passant son bras sous mon épaule, mais sa main soigneusement éloignée de mon sein droit, tenant de l’autre mon pull et mon sac qu’il avait ramassés et, me portant plus qu’autre chose, m’emmena vers sa cabane. J’avais en effet si mal qu’il me serait impossible de conduire ma petite Clio : il me proposa d’abord de me soigner. La cabane du bois ressemblait à son propriétaire : grande, carrée, elle était sommairement meublée, mais comprenait une grande cheminée devant laquelle un tapis moelleux était étendu, et une petite salle de toilette était visible, mais pouvait être isolée par un paravent, pour l’instant fermé. L’homme m’installa d’abord dans un fauteuil et mit mon pied sur un coussin, puis alla chercher une pommade d’arnica. J’étais encore violemment émue, et gênée de mes seins nus, de mon pantalon que je n’avais pas eu le temps de refermer, devant lui. Mais il semblait ...