L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
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Masturbation
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... pénétrer, sans effort aucun, sans devoir plier les genoux ou baisser le dos. Il avait souvent pensé à m’y emmener, mais, puisque nous étions séparés, je pouvais peut-être me calmer en allant me caresser seule : il me suffirait de fermer les yeux pour imaginer tout ce que sa pine et ses doigts m’auraient procuré comme plaisir, en un endroit pareil… Je ne croyais pas cela possible, mais j’aimais tant Vladim qu’à défaut d’aller dîner dans les boîtes qu’il me conseillait, je lui assurai que, dès le lendemain, je suivrai son conseil. Je m’habillerai aussi suivant ses indications : un pantalon blanc moulant nécessitait en effet que je le porte avec des bretelles – et Vladim aimait que ces bretelles reposent à même mes seins. La largeur de leur tissu couvrait à peine mes aréoles, et quand je marchais, les bretelles m’irritaient même un peu. Mais Vladim aurait du plaisir à m’imaginer arriver auprès du hêtre, ôter mon pull et calmer, avec mes mains, la pression du tissu sur le bout de mes seins. Je lui promis de faire ce qu’il voulait, regardai ce soir-là, un peu plus longtemps que d’habitude, son beau sexe si bien dressé qu’il manipulait en me parlant : j’avais tant envie de pouvoir le toucher, le prendre dans ma bouche, le faire jouir ainsi… Cette nuit-là encore, je dormis mal, malgré le gode que j’avais emporté dans mon lit et que je laissais quasiment toute la nuit vibrer dans mon entrejambe : les petites secousses de plaisir qu’il me procurait n’étaient que de pâles imitations ...
... des formidables jouissances que Vladim m’avaient fait découvrir. ! La clairière du Hêtre Je reconnus tout de suite, quand j’arrivais sur place le lendemain après-midi, l’arbre dont Vladim m’avait parlé : effectivement, il était conçu presqu’aussi précisément que le siège à levrette de la « salle de classe ». Je regardai tout autour de moi : c’était un bel après-midi d’automne, chaud et légèrement venteux, j’étais parfaitement seule. Je m’assis alors dans le creux de l’arbre, posai mon sac près de moi, ôtai mon pull : je sentais la texture du tronc qui labourait un peu mon dos, j’entendais les feuilles bouger – comme si elles me regardaient : je pris mes seins à deux mains et calmai la légère brûlure que m’avait procuré les bretelles, en tournant mes doigts sur mes pointes et en pétrissant mes deux globes. J’avais fermé les yeux, je revis le sexe de Vadim : j’ouvris légèrement la fermeture éclair de mon pantalon blanc, qui était toujours un peu serré mais cela plaisait à mon mari, qui trouvait que mes fesses étaient particulièrement désirables dans ce vêtement, et je commençai à caresser ma motte avec ma main, quand soudain j’eus une bizarre sensation au ventre : il me semblait que je n’étais plus seule. Et effectivement, quand j’ouvris les yeux, je vis un homme dont le regard était braqué sur moi. Il me parut immense, il était vêtu d’une veste de velours et surtout ses mains étaient énormes. Je fus si paniquée d’avoir été surprise ainsi, qu’abandonnant par terre mes affaires, ...