L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
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... prit dans ses bras et posa ses lèvres sur les miennes. Je crus qu’il allait en rester là, mais je sentis soudain qu’il cherchait à écarter mes lèvres : quand ma bouche fut ouverte, il introduisit sa langue et se mit à caresser la mienne. Je n’avais jamais éprouvé une telle sensation – car, au lieu de me dégoûter, ce baiser me plaisait, et plus il durait, plus je me laissais faire. C ‘était comme lorsque nous dansions : je m’abandonnais, j’ouvrais la bouche, soumise à la vigueur de sa langue qui enroulait la mienne de sa salive… Nous fûmes mariés trois semaines plus tard – et ma nuit de noces reste un de mes souvenirs les plus brûlants. Mes premiers émois ! Ce fut Vladim qui organisa le mariage : il avait interdit à ma mère d’intervenir en quoi que ce soit, prenait tous les frais à sa charge et entendait bien bousculer les traditions : non seulement ce serait lui qui m’offrirait ma robe de mariée, mais elle serait confectionnée suivant ses indications, par sa propre couturière, une certaine Edmonde, femme d’une cinquantaine d’années, ouvrière hors pair et qui avait l’air d’avoir beaucoup profité de la vie. Tous les jours, comme dans les meilleures traditions des siècles passés, Vladim venait me rendre visite, mais il avait prévenu : — Je ne te toucherai pas, je te le jure, avant notre mariage, je ne te caresserai pas : car ta virginité m’est devenue fort attirante. Et crois-moi, c’est un gros effort que je m’impose là, car tu me troubles beaucoup, et mon désir augmente de ...
... jour en jour ! Ne sens-tu pas, de ton côté, comme un frémissement dans ton corps ? Je répondis sincèrement : — J’aime beaucoup tes baisers, ta langue dans ma bouche, mais pour le reste, je ne sais pas encore. En tout cas, je crois sincèrement que je suis tombée follement amoureuse de toi – et je te trouve plus beau de jour en jour ! Cela le faisait rire, et, me prenant dans ses bras, il m’embrassait longuement, mais sans jamais laisser ses mains s’égarer. Edmonde, qui semblait très bien connaître Vladim et avoir habillé pour lui d’autres femmes, vint également me voir pour ma robe de mariée, et je dus me mettre nue devant elle, ce qui me gêna un peu au début. Mais elle devait prendre mes mesures, car ma robe serait cousue à même mon corps. C’était une création tout à fait spéciale : blanche, bien entendu, mais aussi extrêmement sexy : fendue sur le côté, et avec, en guise de corsage, une sorte de filet fait de très minces rubans de soie : de loin, on voyait comme une dentelle blanche, tout à fait « normale ». Mais de près, c’était la peau de mes seins nus (car tout soutien-gorge était impossible) qui s’apercevait sous le filet. Edmonde ne put d’ailleurs s’empêcher de me féliciter : — Vous avez un corps de jeune fille et des seins splendides, mademoiselle Ludivine, je reconnais bien là les goûts de monsieur Vladim. Voyez, vous avez une taille de bonnet « D, et nul besoin de soutien, pourtant… Cette résille vous met la poitrine en valeur, et elle en vaut la peine ! Pourtant, je ...