L'apprentie - Histoires de Sexe

L'apprentie

... vais l’élargir d’un petit centimètre car, quand vos pointes de sein durciront, il ne faudrait pas qu’elles s’échappent !— De quoi parlez-vous ?— N’avez-vous jamais éprouvé cela, je ne sais pas, moi, en dansant avec Vladim, ou un autre homme ? Même vierge, voyons ! Si on appuie sa poitrine sur celle d’un homme qui a envie de vous et vous le fait sentir, généralement, le désir monte et fait durcir les seins. Cela ne vous est donc jamais arrivé ? Je me souvins alors de l’atroce soutien-gorge, et de l’épais corsage, que je portais le soir du bal : je n’avais évidemment, harnachée de la sorte, rien pu sentir de ce que me racontait Edmonde. Mais de ce jour, ma curiosité s’éveilla franchement : quel était cet univers où le « désir » semblait si naturellement s’épanouir ? La journée du mariage a été splendide – la réception avait été organisée dans un splendide château, loué par les soins de mon mari. Quand je suis apparue dans l’immense salle de banquet, au bras de Vladim, un silence stupéfait s’est établi dans l’assemblée – et mes cousines, je m’en suis bien aperçue, en ont jauni de jalousie. Je m’en souviens encore : le repas, les boissons, tout avait été parfait, et surtout, quand Vladim m’avait fait danser, j’avais eu le bonheur de sentir ce dont Edmonde m’avait parlé : le désir avait monté en moi quand il m’avait serrée contre lui, et j’avais enfin senti les pointes de mes seins durcir. Ils réagirent d’ailleurs de même avec tous mes autres danseurs, et j’ai bien peur que ces ...

... hommes s’en soient rendu compte car, pour dire la vérité, la résille d’Edmonde laissait la peau de mes seins aussi accessibles que s’ils étaient nus. Je rougissais de laisser voir ainsi mes seins gonflés pendant que je passais de danseur en danseur, et je fus donc soulagée quand Vladim vint me chercher pour aller dans la chambre où nous passerions notre nuit de noces : j’avais peur, naturellement, de la suite, de ce dépucelage dont on m’avait dit quelques mots effrayants, mais mon corps venait cependant de réagir : c’était sans doute de bon augure. Mais, en réalité, je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait vraiment. En douceur, et profondeur… — Ma chérie, mon amour, commença Vladim sitôt la porte fermée, et comme je lui tendais mes lèvres. Je voudrais d’abord te remercier : tu étais si belle que je crois que tu as fait bander tous mes amis, tous les hommes présents. Je ne suis pas un mari exclusif, au contraire, et n’ai rien d’un jaloux, tu t’en rendras compte. Cependant, avant de te dépuceler, de prendre ta virginité, je dois te parler et t’expliquer ce qui va t’arriver, tant tu es ignorante, ma petite oie blanche… Vois-tu, dans ton sexe dont je rêve depuis trois semaines, il y a une membrane qu’on appelle « hymen ». Cette membrane cède quand la pine de l’homme pénètre le con, et bien souvent, elle est si assouplie, soit parce que les filles se caressent, ou sont trop doigtées à l’avance par leurs petits copains, que cela se passe sans trop de douleur. Mais si je t’en ...