L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
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collection,
amour,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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vidéox,
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BDSM / Fétichisme
Masturbation
facial,
Oral
69,
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pénétratio,
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init,
amourpass,
couple,
... ta chatte… Sais-tu bien que cela fait trois semaines que je bande en pensant à toi, ma petite chérie ? Retourne-toi, redonne-moi ta motte, je vais te sucer encore un peu, car tu mouilles déjà ma jolie petite bécassine, ma niaise qui croyait qu’elle était frigide, je suis sûr que tu peux être encore excitée un peu plus… mais après, tu iras te coucher sur le lit et tu écarteras les jambes : car je ne peux plus y tenir, il faut que je te prenne… J’étais partagée entre les secousses de désir et de plaisir que les caresses, les mains, les doigts et surtout la langue de Vladim me procuraient (car désormais, il n’hésitait plus à introduire sa langue jusqu’à l’intérieur de mon con, et léchait le jus qui s’en échappait et témoignait de mon désir), et la peur de ce qui allait m’arriver… Mais j’étais si amoureuse de Vladim, si complètement, déjà, sienne, que j’obéis immédiatement. Je m’étendis sur le lit, j’écartai les jambes. J’avais fermé les yeux, car je croyais qu’il allait me prendre instantanément… Mais non, il commença d’abord par admirer longuement mon sexe, en me le décrivant avec ces mots qui me brûlaient : — Comme j’aime la rosette de ton cul, comme j’aime voir ton jus sortir de ce petit con qui n’a encore jamais servi, écarte bien les jambes mon amour : comme ton bouton d’amour se dresse bien droit, bien dur : je le savais bien, que tu étais faite pour l’amour, ma petite chérie, ma jolie future petite salope, mon amour… Puis de nouveau, il m’embrassait voluptueusement, ...
... passant de ma bouche à mon con, de mon con à ma bouche, forçant mes lèvres, suçant ma langue et se laissant sucer par la mienne, caressant mes cuisses et mes fesses en les couvrant de ses larges mains. Et quand enfin il arrêta ses caresses qui me faisaient désormais me tortiller, je crus que j’allais là y passer… Mais non : il m’ordonna d’abord d’ouvrir les yeux afin, me dit-il, que je puisse contempler le membre qui allait me déflorer, et qu’on appelait « pine », « queue », « pieu d’amour », et bien d’autres noms encore… Je n’avais jamais vu vraiment de sexe d’homme en érection, encore moins n’en avait touché : j’aurais pu être choquée, mais loin de me faire peur, le sexe de Vladim me plongea dans une sorte d’admiration éperdue, sans doute due à l’émotion qui montait de mon ventre et me faisait frémir : il avait une verge que je trouvais formidable, longue et surtout très grosse à la base, ses testicules (je ne savais pas encore dire le mot « couilles », c’est vous dire mon ignorance !) étaient remontées sous l’effet de son désir et son gland décalotté tendait vers moi une fente où une goutte blanche perlait déjà. Instinctivement, je me redressai sur le lit en tendant la main, tant j’avais envie de toucher ce sexe, de le caresser à mon tour… Mais Vladim, inexorablement, me recoucha en pressant mes épaules. Il avança son corps entre mes deux jambes écartelées, et se coucha à moitié sur mon ventre : j’étais ainsi bloquée sous lui, je ne pouvais plus bouger et je sentais mes seins ...