L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
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... avouer que jamais je n’aurais cru cela si bon… Il poursuivit : — Je savais que tu étais faite pour cela. Mets-toi debout, ma toute belle, relève bien ta jupe et enlève complètement ton slip, et aussi fais passer tes seins au-dessus de la résille, comme cela, oui… Remarques-tu à quel point tes pointes sont durcies ? Je vais t’apprendre, avant de te déflorer, à quel point de plaisir une langue d’homme peut mener une femme. Et, toujours assis, me prenant la taille entre ses deux larges mains, il approcha d’abord ma poitrine de sa bouche, et se mit à m’embrasser, me sucer et même me mordiller les seins. Ensuite, ah, ensuite… Il remontait les mains et soupesait mes globes, passait ses doigts sur mon visage, les enfonçait dans mes cheveux, pendant que sa bouche me couvrait tout le corps de baisers. Enfin, il me fit de longues caresses sur tout le corps, dos compris, allant jusqu’à, là encore, introduire ses doigts dans la fente de mes fesses en la parcourant longuement de bas en haut… Enfin, se penchant vers ma motte, il me lécha entièrement le sexe, en écartant doucement mes jambes de ses mains qui les caressaient tendrement : l’intérieur des cuisses, les lèvres, l’entrée du con, sa langue passa partout, puis remonta vers mon clitoris et s’y attarda particulièrement, en le suçant longuement : je sentais que mon bouton d’amour durcissait encore et encore et, sans même le vouloir, j’avançais mon bas-ventre vers Vladim, en écartant les jambes, afin qu’il puisse continuer cette ...
... caresse qui me rendait folle et m’envoyait de longues vagues de chaleur et de désir dans tout le corps… Si je rougissais désormais, c’était sous la chaleur de mon désir. Ma gêne, la pudeur que mon éducation m’avait inculquée, disparaissaient, tant j’étais émue – et Vladim appréciait pleinement que, petit à petit, oubliant toute pudeur, je me laisse faire par lui… et il m’encourageait à haute voix à le faire. Je me sentis m’ouvrir toujours plus sous les mains si expertes et si douces de Vladim : mais j’étais si brûlante que je ne pouvais prononcer un seul mot, simplement soupirer et gémir, alors que lui me couvrait de compliments, en des termes très crus qui ajoutaient encore à mon trouble – je n’avais jamais entendu un vocabulaire aussi libre. Ainsi, quand, lui toujours assis et moi debout devant lui, il me fit pivoter, il s’écria : — Mais quel beau cul tu as : bien haut, bien rond, et ta peau douce… Une vraie invitation, comme ta vulve si tendre, comme ton bouton d’amour, comme ton petit con chéri bien caché entre ces lèvres qui semblent faites pour ma langue. Attends, laisse-moi bien caresser ton cul, tu vois, j’ouvre et je referme tes deux fesses, je te pétris ma toute belle, et comme ton con palpite… Quand à ton dos, comme j’aime ce sillon qui le traverse, comme j’aime voir ta peau frémir sous mes doigts. Non, vraiment, quand on a un corps comme le tien, on est capable de rendre n’importe quel mâle fou de désir, et tu peux obséder tous les hommes rien qu’en les faisant penser à ...