1. Brocante, caresses et photos numériques


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, photofilm, odeurs, Masturbation Oral pénétratio, jouet, jeu, mélo, amourdura,

    ... rendez-vous. Contrairement à mes habitudes, j’ai près de quinze minutes d’avance en arrivant chez elle. Ce qui me laisse le temps de faire le tour de son quartier, et de m’imprégner de l’ambiance dans laquelle elle vit. La mise en scène ressemble à celle de la semaine dernière, porte entrouverte, lumières éteintes. Sauf qu’il n’y a pas de bougie pour guider mes pas, mais des parfums. Véronique me suppose maintenant capable de m’orienter de mémoire d’une pièce à l’autre, et elle s’est amusée à faire planer une odeur caractéristique dans chaque endroit important de son appartement. À chaque étape, je trouve aussi une friandise, correspondant à l’un de ses plaisirs inavoués. Odorat et goût au menu de cette nuit, cela laisse présager du meilleur ! Dans le séjour flotte le parfum qu’elle portait lors de notre première rencontre. Cette odeur si particulière qui m’avait fait réaliser sa présence à côté de moi dans le bar, et qui était restée longtemps sur la peau de mon bras, à l’endroit où elle avait si légèrement posé sa main. Sur le semblant de bar qu’elle a reconstitué, elle a posé du chocolat noir fourré à la pâte d’amande. Je prends un petit morceau dans lequel elle a déjà croqué et le glisse entre mes lèvres à la manière d’une hostie sacrée. Notre communion intime peut commencer. Je la soupçonne d’observer mes faits et gestes, cachée quelque part entre sa chambre et la terrasse. Je m’amuse donc à faire durer le plaisir en me dirigeant plutôt vers la cuisine, où je suis ...
    ... accueilli par de nouvelles odeurs et une autre friandise. Je passe ensuite à la salle de bains. Un bouquet subtil et envoûtant m’y attend, fait de discrètes fragrances, qui correspondent sans doute aux essences qu’elle porte à même la peau en temps normal. J’y perçois aussi des senteurs plus capiteuses, dont elle s’enveloppe peut-être lorsqu’elle ne veut pas se dévoiler de manière trop intime. D’un côté les effluves qui la mettent en valeur, de l’autre ceux derrière lesquels elle se cache. En tâtonnant dans le noir, je prends appui sur le séchoir où elle a étendu le linge dont elle s’est entourée au sortir de la douche. Ce mouvement suffit à dévoiler ses senteurs les plus secrètes. Immédiatement, de délicieuses sensations enfouies dans ma mémoire olfactive réapparaissent et mettent mes sens en émoi. Raide bandé à la seconde même où je retrouve cette trace si caractéristique du langage intime de Véronique, je suis submergé par le désir de m’enrouler autour d’elle pour me gorger de ses parfums, avant de plonger entre ses cuisses. Nez au vent, je me dirige vers l’endroit d’où semblent provenir les mêmes fragrances que celles découvertes sur le linge. Je trouve Véronique lascivement allongée sur le canapé du séjour, nue, offerte. Sans autre préliminaire, je m’agenouille entre ses jambes, et tout en palpant du bout des doigts les frémissements de son ventre, j’approche ma bouche et mon nez de sa béance pour mieux m’enivrer de son odorante féminité. Irrésistiblement soumis à une pulsion ...
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