Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... à les ouvrir. Ils ne contenaient malheureusement que des papiers administratifs qui auraient sans doute valu quelque fortune, à condition de savoir à qui les vendre et ce n’était pas le cas de Véronique. Elle ne trouva rien de plus intéressant. Seul un gros coffre posé au fond de la pièce résista à ses tentatives d’ouvertures et Véronique, en connaisseuse, sut qu’elle ne pourrait l’ouvrir sans la clef ou un matériel plus perfectionné. Elle trouva également une porte cachée mais n’entra pas dans le petit couloir sombre. Elle n’était pas là pour cambrioler le palais mais pour arracher des pièces d’or à un noble arrogant. Pour le moment, elle dut bien avouer n’avoir pas tout à fait réussi dans cette tâche. Il s’était même arrangé pour qu’elle ait une dette envers lui. Oui, ça partait vraiment mal. Elle se promit de faire mieux la prochaine fois. Elle ne comptait pas le laisser la manipuler ainsi. Elle réussirait et il n’aurait qu’à bien se tenir. Il ne revint que tard dans la soirée, après qu’on eut apporté un dîner et un pot de chambre à Véronique. Le noble semblait fatigué. Il retira sa veste puis ses bottes de façon mécanique, s’aspergea un peu d’eau sur le visage et ne regarda Véronique qu’ensuite. Elle l’attendait sagement à genoux, le regard baissé. Elle comptait bien être la docile petite chienne qu’il désirait pour le forcer à lui donner la pièce d’or qui allait avec. — Je suis fatigué, annonça-t-il sans détour. Quand je suis fatigué, je suis brutal. J’ai envie de te ...
... prendre par-derrière. Approche. Véronique obtempéra mais presque à reculons. Lorsqu’elle fut près de lui, il lui écarta les fesses et lança : — Hum, malgré ta façon de jouer les professionnelles, tu n’as jamais été prise par là, n’est-ce pas ?— En effet, Monseigneur et Maître, répondit-elle d’une voix légèrement tremblante. Elle n’avait même jamais imaginé qu’on put faire ça mais ne comptait pas montrer son étonnement. Une certaine crainte la submergea. Elle craignit en effet que cela soit douloureux, surtout s’il comptait être « brutal », comme il l’avait annoncé. — Il va falloir te préparer en ce cas, sinon tu souffriras vraiment. À ces mots, il sortit de la pièce. Pendant son absence, elle fut rassurée de savoir qu’il comptait agir pour limiter sa souffrance mais ne put s’empêcher de se demander pourquoi ce noble semblait si gêné de la blesser. Il n’avait pas semblé désirer se préoccuper d’elle jusque-là, bien au contraire. Il revint avec un petit flacon en argile fermé d’un bouchon en liège. — Reste à quatre pattes et cambre le dos, ordonna-t-il en se plaçant derrière elle. Véronique obéit tandis que le noble ouvrait le flacon et faisait couler un peu de son contenu sur ses mains qu’il étala. Véronique, qui regardait la tête tournée, remarqua qu’il semblait s’agir d’un liquide gélatineux : une sorte d’huile, probablement. Après s’en être correctement enduit les mains, il entra avec douceur un doigt dans l’anus de la jeune femme. Véronique fut surprise par cette douceur alors ...