Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... ajustait sur son dos une planche de bois sur laquelle reposaient un parchemin et une plume.— Véronique Steta.— Ton village d’origine ? demanda l’homme en plongeant la plume dans un encrier tenu par le jeune servant.— Thurel, répondit-elle sans comprendre ce en quoi cela changerait quoi que ce soit.— Ton âge ?— J’ai dix-neuf ans, monsieur.— Le métier de ton père ?— Mon père est mort, mais il était agriculteur. Véronique ne comprenait vraiment pas pourquoi on lui posait toutes ces questions mais s’y plia de bonne grâce. Après tout, ça n’était pas des questions trop dérangeantes. — Tu es pure ? demanda alors l’officiel.— Oui, monsieur, répondit Véronique.— Pas encore mariée ? insista l’officier.— Non, monsieur.— Pas assez docile pour ça, murmura l’intendant, suffisamment fort toutefois pour que Véronique entende. Véronique sourit à ce que cet homme devait sûrement penser comme une insulte mais qui était, aux yeux de la jeune femme, un vrai compliment. Elle était fière de sa liberté, de son indépendance vis-à-vis des hommes, et de tout le reste. — Bien, finit par dire l’officiel alors que le page se relevait. Entre ici, nous allons vérifier que tu n’as pas menti puis tu seras amenée devant notre seigneur et maître, après t’avoir rendue un peu plus présentable, cela va de soi… Véronique sourit. Elle savait à quoi s’attendre et ne fut donc pas surprise. Elle suivit le page qui lui fit passer la porte. Elle se retrouva dans une pièce relativement petite, une sorte d’antichambre. ...
... Deux gardes étaient postés de part et d’autre de la porte et une femme installée dans un fauteuil se leva et s’approcha d’elle. Cette femme ne donnait vraiment pas envie qu’on s’approche d’elle. Vieille, ridée, les yeux rapprochés et terrifiants, des mains fourchues, un nez crochu, un visage dur et sévère. La vieille la fit avancer d’un pas afin qu’elle monte sur une petite estrade de bois la surélevant par rapport au reste de la pièce. La vieille dame se plaça alors devant elle et souffla : — Je vais vous préparer à voir notre seigneur et maître. D’abord, je vais vérifier que vous êtes bien pure. D’habitude, il suffit de retrousser sa jupe mais comme vous semblez préférer d’autres styles d’habits, vous allez devoir retirer les braies et les chausses.— Je ne crois pas non, répliqua Véronique qui entendait les gardes glousser. Véronique se contenta d’ouvrir le bout de tissu sur ses braies, celui-là même qui permettait aux hommes de libérer leur vessie aisément sans avoir à retirer tous leurs vêtements. La vieille fit la moue, visiblement contrariée par l’allure que prenaient les choses. Elle hocha tout de même la tête et s’approcha. La vieille se pencha et écarta les lèvres intimes de la jeune femme sans douceur. Véronique cria lorsqu’elle sentit un objet froid et métallique toucher son sexe, forçant avec brutalité l’entrée de son intimité. — Vous faites quoi là ? s’exclama-t-elle.— Je vérifie, je viens de vous le dire.— Et il faut absolument me mettre ce machin glacé dans le ...