Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... des vêtements et même une armure légère de cuir. De quoi être capable d’être acceptée dans un groupe de mercenaires. Ils en réclamaient en Armanie, le pays voisin, et les payaient un bon prix, à condition d’être correctement équipé. Elle arriva en ville au petit matin, après avoir dormi à la belle étoile à l’entrée – elle était arrivée après la fermeture des portes. Les rues étaient encore silencieuses. Certains marchands commençaient à ouvrir mais les passants étaient rares. Véronique se rendit au château. Elle n’y était jamais allé mais savait où il se trouvait. Elle s’arrêta devant l’arche permettant de pénétrer dans la première cour extérieure. Des gardes se tenaient devant, la protégeant. — Vous désirez ? dit l’un d’eux.— Entrer, capitaine, dit Véronique, reconnaissant l’insigne sur le tabard du soldat. Je viens chercher une récompense. Il semblerait qu’on offre dix pièces d’or à qui vient le réclamer.— Il faut correspondre à certains critères, répliqua le soldat en la déshabillant des yeux. Véronique se contenta de lui envoyer un regard noir pour toute réponse. Le capitaine finit par hausser les épaules et lança : — Les armes restent ici. Véronique lui tendit la dague qui pendouillait à sa ceinture. — Celle cachée dans la botte aussi, précisa le capitaine en la foudroyant des yeux. Il ne semblait pas la porter dans son cœur. Logique. C’était souvent contre des aventuriers comme elle qu’il avait à ouvrir le combat. Véronique obtempéra et elle put entrer, sans arme. ...
... Elle monta les marches menant au grand hall, se sentant écrasée par la magnificence du bâtiment. Le hall en lui-même, entièrement en marbre, avec un plafond à dix mètres de hauteur, agrémenté de statues, de colonnes, le tout éclairé par de nombreux chandeliers disposés un peu partout. Cela devait nécessiter une quantité de bougies mais également de serviteurs incroyable. Véronique continua à avancer, de plus en plus perdue dans cet univers si différent du sien. Elle trouva un garde, devant une haute porte. Il lui désigna un escalier sans même lui adresser la parole. — Charmants, les gens par ici, murmura Véronique dans l’escalier. Elle descendit quatre étages avant de trouver un autre garde qui lui annonça qu’elle était au bon endroit. Il lui désigna un couloir qu’elle emprunta. Deux officiels étaient là, discutant. Un petit page semblait s’ennuyer ferme à leurs côtés. À son approche, la conversation cessa tandis que les deux hommes le déshabillaient des yeux. Ils se sourirent rapidement. Il ne faisait aucun doute qu’ils ne voyaient pas comment une telle femme pourrait encore être pure. — C’est pour la gloire de Primel ? demanda l’un d’eux. Véronique ouvrit de grands yeux. Primel ? Ce nom faisait écho à son souvenir. C’était le nom d’une des nombreuses déesses priées dans les environs. Elle se força à se rappeler et finalement, elle se souvint : Primel était la déesse de la virginité. — Tout à fait, répondit Véronique.— Ton nom, dit l’homme alors que le page se courbait et ...