1. Espion


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Anal Humour, Première fois

    ... toutvenant ses cuisses gainées de bas. Son cul n'avait de cesse de tortillersur le siège.Les gars autour reluquaient et manifestaient assez ostensiblement àl'amant de la garce qu'il avait beaucoup de veine. Je ne comprenais pasles règles de jeu de ce monde infernal. Tout n'était que lubricité etgrimaces. Je songeais surtout à Gontran dupe de tous ces gens et de safemme. Un instant je fus tenté de l'arracher à cette foule et del'emmener au grand air de la rue mais il faut croire que j'étais autantque les autres fascinés par la scène de Sabbat. Cela dura une heure.J'eus le temps de voir la main de l'homme sur sa cuisse et qu'il luicaressait le cheveu. Enfin ils disparurent sous l'air goguenard desautres. Ainsi demeurais-je perplexe plus que stupide.Je ne pus garder longtemps mon secret ou du moins naïvement un jourporté par la tristesse plus que par la rage, je du lui avouer l'avoirsurpris en galante compagnie. Elle sourit non pas du crime mais que jepus m'en faire le relais osant le lui reprocher. Elle m’asséna : "Tufais ton sermonneur. Qui plus est tu m'espionnes". Je balbutiais etprotestais que j'étais tombé dessus par hasard. Avec le même sourireelle ajouta : "Je plaisante. Tu n'as en toi nulle méchanceté. Cependanttu ne devrais pas t'émouvoir pour si peu." Par la suite elle en fit unjeu. A chaque fois que je la croisais elle me disait mi-goguenarde : "Nefais pas ton espion."!La fois suivante il est manifeste qu'avec le recul du temps, je fus sadupe. Ce à quoi j'assistais ...
    ... ne fut peut-être pas le fait du hasard. Aucours d'une semaine je me baladais chez les uns et les autres. Jerendais maints services comme une sorte de coursier. Notamment aux gensâgés. Je percevais des pourboires. Vivant chez les parents j'avaisl'impression de vivre largement offrant à l'occasion quelques cadeaux àmes amis. Ce jour-là je devais effectuer un dépannage sur l'ordi deBill, un rocker vieux misanthrope et un peu alcoolique. D'abord rétif àla machine, il passait maintenant les nuits dessus. Je lui savais uneprédilection pour les sites de cul.Dedans la chambre, j’entendais sa télé bourdonner au sein du salon. Deloin en loin retentissait la sonnette. Des copains venaient le voir.Cela chahutait. Je percevais le tintement des verres. Je n'avais jamaissupporté l'alcool et me gardais bien d'aller les rejoindre malgré leurinvite. Ce jour-là tandis que Bill ronflait retentit la sonnette. Peuaprès je reconnus une voix de femme. C'était elle. J'étais troublée. Quevenait-elle faire chez Bill ? Celui-ci était non moins gêné que moid'autant qu'il se garda de me signaler. Nous rentrions dans un étrangeimbroglio.Avec plus d'à propos j'aurais aller au devant d'eux d'autant que j’avaisfini. Il me suffisait que de faire du bruit dans la chambre. Bill auraitalors expliqué que je le dépannais. Non au contraire avec unesournoiserie inconsciente je me tus et devins à nouveau espion. A lavoix de la garce je perçus assez vite qu'elle faisait de nouveau sonnuméro. Il n'est pas sûre qu’elle ...