1. Espion


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Anal Humour, Première fois

    ... l'égard d'un interlocuteur de soufflerle chaud et le froid. C'était son vache et joueur. J’escomptais bienm'enfuir après avoir avalé le café. Son ton pourtant était des plussérieux. Elle voulait m'entretenir de quelque chose d'important. Jesortais des brumes. Il sembla que je lui importais. Elle ne m'en voulaitguère de mes façons de vicieux et voire de sournois. "C'est de ton âge"me disait-elle. Avec brutalité elle demanda : "Es-tu encore puceau ?" Jesursautais.Mon bafouillage était un aveu. Son sourire témoignait de son infinieindulgence. Le regard baissé je ne l'en laissais pas moins continuer.J'étais aux confins de la honte. J'aurais voulu mourir. J'étais tristetant de mon pucelage que de ne pouvoir lui déclarer ma flamme. Depuislongtemps je me méprisais. Depuis longtemps j’avais fait le deuil de majoie et de mon innocence. Elle perçut ma tristesse et sembla sincèrementen être affectée. C'est à ce moment qu'après avoir décroisé ses bellescuisses que je lui vis sa chatte brune et velue. J'étais consterné.Perplexe plus que choqué. Avait-elle par dessein omis de mettre uneculotte ? Était-ce une habitude ?Elle finit par intercepter mon regard. D'un même sourire elle asséna :"Comment trouves-tu ma chatte ? J'aurais fui volontiers. Tout allaitvite en ma tête et s'entrechoquait. Prostré je devenais paraître au fondde mon fauteuil comme une bête traquée. Sans se décontenancer car ellesemblait familière des garçons timides, elle sourit écartant du mêmecoup ses cuisses afin que je ...
    ... pus à loisir examiner sa chatte. Du mêmeton elle poursuivit : "Tu sais il n'y pas de honte à regarder cela. Celavaut tous les films. Ton copain Bill s'est régalé l’autre fois. " Eneffet j'admirais tant le liseré du bas que la chair blanche des cuisseset ce sexe fourni. Je bandais.Tapotant le canapé, elle m’intima de venir. Son regard du coup lubriquene tolérait nulle résistance. Le timbre de sa voix devenait impérieuxdevenue rauque. Elle avait les yeux dilatés et la narine toutefrémissante. Son projet se fit jour car elle prononça : "Ce con de Bills'est moqué de toi. Je ne peux le supporter. Tu as autant droit qu'unautre à t'amuser. Viens. Approche-toi." Je ne sais comment je pusannuler la courte distance entre nous car mes jambes flageolaient. Telle condamné à mort je me traînais jusqu'à l'échafaud qui à d'autres eûtparu un paradis. N’escomptant que je pris l'initiative elle assura tout.Ce fut le jour béni de ma première pipe. Quelle impression, quellesensation de fondre dans la bouche d'une divine. Je m'en voulais den'avoir goûté cela plutôt. Je me méprisais d'avoir dédaigné ce plaisiraprès lequel tant couraient. Ils étaient dans le vrai et j'étais dans lefaux. Son corps était lourd, chaud tout saturé de parfum. D'autoritéelle m'enfonça la tête entre ses lourds seins. Elle riait m'abjurant deles gober, les caresser et en sucer les tétons. Je n'eus jamais autanten si peu de temps. Elle consentit à mélanger sa bouche à la mienne.J'embrassais malhabile. Elle me dit du ton d'un ...