1. Espion


    Datte: 05/03/2018, Catégories: Anal Humour, Première fois

    ... avait prémédité de débaucher le pauvreBill. Quoiqu'il en soit elle l'attaquait bille en tête sur cette rumeurqu'il passait son temps sur des sites pornos. J'eus peur un instantqu'elle ne voulut venir jusqu'à l'ordinateur.Peut-être Bill l'en dissuada-t-il. Il se fit comme un silence puis leronron de la télé. Je m'approchais pour regarder par l'interstice. Bienmal m'en prit. Bill était toute bouche ouverte, l'œil fermé comme enextase sur son canapé. D'abord je crus que la miss avait disparu. Puispar un effort d'imagination je compris qu'hors du champ de vision elledevait être penchée sur lui. Aujourd'hui je comprends ce à quoi elles'employait. Ces deux là étaient bien familiers. Elle le suçait là quasidevant moi sans vergogne. A partir de ce jour je n'eus plus de doutequant à mon désir et dépit. De sexualité relativement endormie, je memasturbais depuis peu songeant à elle.Autant je trouvais concevable qu'elle n'appartint qu'à un seul : mon amiGontran autant il horripilait qu’elle se donnât au premier venu etsouvent des types méprisables. Je lui en avais fait reproche une fois.Qu'elle fit cela avec cet imbécile de Bill passait toute mesure. J'envoulais à celui-ci de trahir Gontran. Tous semblaient se liguer contrece dernier. J'avais la preuve que le monde était laid et injuste. Orj'étais loin du compte. On n'apprend qu'à ses dépends. Je ne savais pasque j'y mettrais moi-même la main à la patte. La sorcière avait fomentéde me faire bouillir dans sa marmite. Je ne vis pas venir ...
    ... l'attaque.Ironie du sort, elle m'avait convoqué pour son ordinateur. Je n'y vispas malice. Elle perçut ma maussaderie. Bardée du même sourire ellem'attaqua dès le début. Je sursautais. Impavide elle m'évoqua la fois oùelle avait sucé l'ami Bill. De go elle nous traita tous deux de vicieux.Elle affectait de s'être donnée en spectacle. Elle était assez déçue quenon content de l'espionner je me révélais aussi un voyeur et un vicieux.J'étais soufflé de tant de mauvaise foi. Je balbutiais. De toute façonaffecté en ce temps d'un bégaiement nerveux, je ne parvenais jamais àfaire entendre mes raisons. Elle triomphait me menant là où ellevoulait. Je fus traversé de choses contradictoires.Coupant court à mes explications, elle m'intima avec mépris d'allerrégler l'ordinateur. Penaud je rongeais mon frein. J'avais un poidsénorme sur le cœur. Depuis longtemps j'avais envie d'exploser et defendre l'armure. J'atteignais à dix-sept ans. Il me pesait d’être prispour un nigaud et un puceau. En moins d'une heure j'optimisais labécane. J'escomptais la saluer et partir sans autre forme de procès.Elle m'attendait assise sur le canapé. Il ne m'échappa pas qu'elles'était changée entre temps. Son maquillage était outré. Elle arboraitune mini jupe que je ne lui avais jamais vu. Elle m’ordonna de m'asseoirface à elle pour partager son café.Je compris que cette mise en scène m'était destinée. Je crus d'abordqu'elle voulait d’une certaine façon se faire pardonner l'accueilinitial. Elle était coutumière à ...