1. L'INCONNU DU CINEMA (8)


    Datte: 12/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... voile sur les yeux me faisait perdre toute notion de l’espace autour de moi et seuls les bruits m’orientaient dans mes ressentis avec toutes les déformations inimaginables favorisées par mon imagination. Soudain Marc m’a poussé de face contre un objet en bois, il m’a levé le poignée gauche pour l’attacher solidement avec les fameuses chaînes au bruit si caractéristique. Ensuite il a fait de même avec le bras droit et enfin il m’a écarté les jambes pour me les attacher à leur tour, je me suis retrouvé les quatre membres en croix exactement comme sur la potence que j’avais aperçu dans le grand salon. Je me laissais faire comme une vraie soumise, malgré la crainte qui me tiraillait le ventre, le plaisir de l’humiliation prenait encore le dessus. J’étais complètement bloquée face contre le bois tiède, laissant ainsi mes fesses cambrées et écartées à la vue de tous. La position était inconfortable et très humiliante, heureusement que j’étais bien attachée car je n’aurais pu tenir très longtemps ainsi écartelée. Le silence pesant s’est de nouveau installé dans la pièce et je n’ai pas pu me retenir de clé mandé la présence de Marc. — Marc… vous êtes là… je vous en prie… répondez moi… Pour seule réponse, j’ai entendu le sifflet des lanières de cuir qui sont venues me réchauffer les fesses avec un claquement sec. — Aie…non…je vous en prie… La douleur était vive et je n’ai pu empêcher mes yeux de larmoyer tout en crispant mes fesses pour prévenir d’éventuels coups à venir. — Vous ...
    ... êtes en retard J’ai reconnu la voix sévère du Maître des lieux, il fallait donc m’attendre au pire. De nouveau le sifflet des lanières découpant l’air sur leur passage et un nouveau claquement sec libérant une forte douleur sur mes fesses. — Aiiieeee… non, je vous en supplie… ça fait trop mal… — Il fallait y penser avant de me contrarier Et un nouveau claquement raisonna dans la pièce: — Haaaaaaa… non…non… j’ai trop mal… pardonnez moi… je le ferais plus Les lanières sont de nouveau venuesclaquer sur mes chairs meurtries: — Que je vous y prenne encore, à jouir pendant que j’attends — Haaaaaa… non… non… promis… je ne le ferais plus — Moi je pense que vous aimez la douleur et les punitions — Non…non… ce n’est pas de ma faute… je ne le ferais plus. — Marc, préparez moi cettepetite pute c’est l’heure de sa nouvelle leçon J’étais heureuse que les coups se soient arrêtés, les fesses en feu et le cœur accéléré j’attendais avec appréhension la suite des événements. J’ai senti quelqu’un me décoller le ventre du bois pour placer un objet sur lequel est venu s’appuyer ma vulve, c’était surement Marc qui suivait les ordres du Maître. Puis j’ai ressentie que l’on m’étalait délicatement de la crème sur les fesses, une sensation de fraîcheur apaisante s’est propagé sur ma peau meurtrie. La main appliquait le baume tendrement passant d’une fesse à l’autre, profitant parfois de s’immiscer dans le sillon séparant les deux globes laiteux. C’est sans surprise que des doigts se sont immiscés jusqu’à ...
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