1. L'INCONNU DU CINEMA (8)


    Datte: 12/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mon petit trou pour y étaler aussi cette crème visqueuse, forçant le passage pour en mettre un peu à l’intérieur. Je sentais ce plaisir puissant revenir en moi, comme à chaque fois il me prenait par le ventre pour se propager rapidement à l’ensemble du corps, ma fente devait être toute mouillée car je la sentais perler entre mes cuisses ouvertes. La main baladeuse me caressait toujours tendrement comme pour apaiser la douleur encore présente. Mais de plus en plus, elle venait se frotter discrètement jusqu’à ma vulve pour y puiser la cyprine poisseuse quelle mélangeait aussitôt à la crème pour mieux me pénétrer l’anus. Je sentais les doigts entrer et ressortir lubrifiant mon conduit anal à chaque nouvelle pénétration, de mieux en mieux huilé il acceptait maintenant et sans aucune douleur jusqu’à trois doigts en même temps. Au même moment j’ai ressenti comme des mouvements au niveau de la vulve, c’était le fameux objet que l’on avait placé un peut plus tôt, il venait de s’animer comme par magie et émettait de puissantes vibrations qui venaient troubler mon clitoris. La sensation était délicieuse au point que j’appuyais mon bassin vers l’avant pour pouvoir ressentir plus intensément la monté du plaisir. Les doigts me fouillaient toujours, passant sans aucune modération de mon petit trou à ma chatte et dans lesquels ils pénétraient très facilement. Sous l’action du plaisir, mes chairs s’habituaient et se dilataient de plus en plus, on m’enfilait maintenant jusqu’à quatre doigts ...
    ... dans le cul sans que je fasse la grimace. Je me laissais emporter, soumise et offerte selon leur bon vouloir. Vivant le moment comme une véritable récompense après cette douloureuse punition, totalement convaincue de l’avoir bien mérité je cherchais à me racheter par tous les moyens. Avec toutes ces sollicitations, le plaisir s’installait durablement dans mes entrailles et j’ondulais maintenant mon cul pour pouvoir me frotter plus fort sur cet appareil qui me burinait. Surement pour atténuer la monté du plaisir on m’a posé deux pinces sur les tétons durcis, la douleur vive mais pas insupportable ma fait redescendre l’excitation d’un cran tout en accentuant la perversité de l’humiliation. J’étais prête à tout accepter pour le plaisir de mon Maître à la seule condition qu’il me fasse mourir de plaisir. — Alors Emilie, est ce que je vous régale ? C’était donc bien Marc qui me préparait si délicieusement, cela m’a donné l’envie de faire des efforts pour ouvrir le plus possible mes orifices intimes et lui faciliter la tache. Au bout de quelques minutes, il m’a introduit un tube dur et moelleux à la fois, malgré un diamètre plus que correct, j’ai laissé mon conduit anal accepter l’intrus que Marc commençait déjà à faire aller et venir doucement, tel un piston. A chaque sortie de l’engin il remettait une couche de crème et de cyprine pour alimenter l’importante lubrification nécessaire à l’entrée des artistes. Je commençais à y prendre un réel plaisir au point que j’avais presque une ...
«1...345...8»