Ma colocataire (10)
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
Lesbienne
... pas fait à moi ? s’écria-t-elle. — Parce que tu ne me l’as pas demandé ! On s’est regardées, et on a éclaté de rire. Ôtant son T-shirt et sa jupe, Magalie a foncé vers l’armoire, en a sorti le godemiché et me l’a tendu. — Tu n’as pas envie qu’un homme te pénètre, ai-je fait, mais tu veux savoir quel effet ça fait d’avoir un truc dans ton petit trou ? — C’est ça. Je me suis approchée d’elle et lui ai passé mes deux mains sous les bras pour lui décrocher son soutien-gorge et dévoiler sa poitrine d’adolescente. J’ai léché la goutte de sueur qui coulait dans le sillon de ses seins, puis une autre sous son aisselle, et j’ai pris un téton dans ma bouche. Je lui ai fait faire un demi-tour sur elle-même et j’ai passé ma langue dans son cou humide de sueur, juste à la racine des cheveux. Magalie tenait toujours le godemiché à la main. — Mets-le-moi, ai-je soufflé. Elle a attendu que je sois débarrassée de ma jupe, de mon polo et de mes dessous, et après avoir démêlé les sangles, s’est agenouillée devant moi en dirigeant le plus petit des deux faux pénis vers mon orifice vaginal. J’ai écarté mes lèvres avec mes doigts et j’ai guidé sa main. Elle a poussé l’engin de plastique qui est rentré facilement dans mon conduit lubrifié. J’eus l’impression de recevoir une décharge quand il s’est enfoncé complètement. Magalie a bouclé les sangles et j’ai fait quelques pas dans la chambre pour vérifier que mon harnachement tenait bien. — Regarde-toi dans la glace, tu es à croquer ! s’exclama ma ...
... copine. L’image que me renvoyait le miroir était impressionnante : une chevelure en désordre, des joues rouges, un ventre plat, et un sexe d’homme dressé qui me parut énorme. L’ambivalence de cet accoutrement produisit sur moi un effet plus puissant encore que la première fois, chez Clarisse. Tout ce que je recélais de masculinité apparaissait au grand jour. Il me semblait que des terminaisons nerveuses se connectaient à cet attribut factice. Magalie me souriait, attendant mon bon vouloir. J’étais le roi du monde. Ou la reine... je ne savais plus. Je me suis couchée sur le dos, et elle est venue sur moi. Son sexe, qu’elle ouvrit avec ses doigts, était trempé. Avec précaution, mais aussi pour faire durer le plaisir, elle s’assit sur mon pénis. — Ça fait mal ? Ai-je demandé. — Non, dit-elle en fermant les yeux, l’air extasié. Comme je la trouvais belle ainsi, apaisée et pourtant vibrante d’excitation. Maintenant que la voie était ouverte, je me suis dégagée, je l’ai fait se mettre à quatre pattes, je l’ai prise, et j’ai entamé une série de lents va-et-vient pour l’accoutumer. J’avais eu soin de nous placer face à la glace de l’armoire pour ne rien perdre du spectacle obscène que nous nous offrions. Je la chevauchais avec des mouvements de plus en plus brutaux, à la manière d’un mâle en rut. J’eus l’idée d’une variante : je me suis retirée, et retournant ma copine sur le dos, je lui ai soulevé les cuisses et l’ai pénétrée à nouveau par l’anus. Ses pupilles se sont dilatées, son ...