15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
humour,
... Plutôt « culaire » que « specta » d’ailleurs… Mon objectif ne laisse pas passer ce festival, dont l’effet sur ma rigidité est indéniable. Anne poursuivant ses initiatives se renseigne sur les trucs qui l’accompagnent. Sur ma réponse que l’approvisionnement a été fait, elle réclame de les voir. Je pense, un peu tard, que j’aurais peut-être mieux fait de me taire. J’essaie une réponse dilatoire en arguant du dîner, mais rien n’y fait elle insiste. Je me résous. J’apporte les objets et les dépose sur les tables. Quand elle voit que j’ai remplacé les morceaux de manche d’outil par des godemichés fort réalistes, elle a une mimique admirative et lance : — C’est beaucoup plus classe que de vulgaires morceaux de bois. Mais je voudrais vérifier que ça marche aussi bien. Aide-moi, ajoute-elle en en prenant un. Là, il faut bien avouer qu’elle me scie un peu. Je n’aurais pas pensé qu’elle irait aussi loin devant ses filles. Des deux, c’est moi le plus gêné. Je défais le mousqueton. Elle me tend le gode avec un clin d’œil complice en posant un pied sur une chaise. Je le prends et m’agenouille devant elle. D’une main, j’écarte délicatement ses lèvres. Moi qui avais hésité à aller chercher un peu d’huile d’amande douce, je me rends compte que c’était parfaitement inutile. J’approche l’objet de son réceptacle. Il y entre avec aisance et bientôt y disparaît. La bénéficiaire a le souffle court. Quand il est calé bien au fond, Anne ramène le string sur ses hanches. Je fais passer la petite ...
... chaînette dans le trou pratiqué dans le gode et ferme le tout avec le mousqueton. Dès que j’ai fini, Gwendoline, qui photographiait les opérations, s’empare d’un autre godemiché, me le tend et se met en position. Pour elle aussi il n’est nul besoin d’un lubrifiant extérieur. Anne remplace sa fille derrière le viseur. Tandis que lentement l’ustensile se fraie un chemin dans son intimité, je sens son ventre frissonner sous ma main. Elle a la bouche entrouverte et halète. Elle a un tressaillement plus intense quand le fond de sa chatte est atteint. Je ferme son string et lui demande, après qu’elle ait fait quelques pas : — Alors, tes impressions ?— Ça fait un drôle d’effet de sentir son sexe envahi pendant que l’on bouge. Elle continue à marcher à travers la pièce, comme pour être bien sûre de ce qu’elle ressent. Dominique s’approche et me tend son olisbos avec son plus charmant sourire : — Eh bien, à mon tour maintenant ! Je refais avec elle les mêmes gestes qu’avec sa sœur et sa mère. Ça devient du travail à la chaîne. Je n’irais pas jusqu’à m’en plaindre. Après ce genre d’exercice, au niveau de ma braguette, ça frétille furieusement. J’aurais besoin de souffler un peu, aussi je lance : — L’heure avance. Si les tests sont finis, nous pourrions passer à table. Anne proclame : — C’est une excellente idée, j’ai une faim de loup. Allons-y ! Elle pose l’appareil photo, récupère son vêtement sur le canapé et l’enfile en se dirigeant vers la cuisine. Ses filles approuvent chaleureusement ...