15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
humour,
... parenthèses, toute la maison a dû profiter de cette manifestation. Elle éloigne mes mains de ses seins en murmurant : — Arrête, je n’en peux plus. Elle se dégage de mon pieu toujours fiché en elle pour reprendre son souffle. Elle le regarde toujours dressé : — Le pauvre, je ne peux pas le laisser ainsi… Avec abnégation, oubliant sa fatigue, elle retire la capote qui le garnissait et entreprend une fellation dans les règles de l’art. Étant déjà au bord de l’explosion, je ne résiste pas longtemps. Je me vide dans sa bouche. Elle me dit, une fois avalé ce qui aurait pu l’empêcher de parler : — Je suis bonne pour aller reprendre une douche. Je lui susurre à l’oreille : — Il n’y a pas que pour aller reprendre une douche que tu es bonne. Et je vais en prendre une, moi aussi. Une fois tous deux debout, elle se tourne vers moi : — Si je suis bonne, c’est parce que grâce à toi je renais. Elle se suspend à mon cou et nous échangeons un long baiser. Un moment interrompu, il reprend tandis que l’eau ruisselle sur nos corps enlacés. Une fois le lit rejoint, le sommeil nous emporte rapidement. Il est 9 h 30 passés quand je me réveille. Anne dort encore du sommeil du juste. Je me lève discrètement. Les sœurs sont déjà debout, mais encore en chemise de nuit. Il faut dire que leur nuit a été moins mouvementée. Après les avoir embrassées, nous préparons le petit déjeuner. Tandis que Dominique s’active dans la cuisine, en commençant par nourrir mon fauve affamé, Gwendoline et moi amenons sur ...
... la table beurre, confiture, miel, pain, tasses et couverts. En mettant la table elle me glisse : — Tu m’aides à mettre ma culotte ? Cette demande me laisse un moment perplexe, avant que je réalise qu’elle ne parle pas de n’importe quelle culotte, mais de « la culotte ». — Je suis au service de Mademoiselle, répondis-je, très serviteur zélé, avant d’ajouter un « File dans la salle de bains, je te rejoins dans cinq minutes », nettement moins classe, surtout ponctué d’une petite claque sur les fesses. Elle ne se formalise pas de ces privautés et obtempère avec célérité. Je finis de dresser la table. Comme je passe dans la cuisine pour chercher les deux ou trois babioles qui manquent à l’appel, Dominique s’accroche à mon cou, plaque ses lèvres contre les miennes et lance sa langue dans une exploration… Hum. Ne voulant pas la laisser seule à l’ouvrage je réponds avec ardeur. Le sifflement de la bouilloire nous arrache l’un à l’autre. Maudite bouilloire. Ma chérie va donc s’occuper du thé. Je reprends mon souffle. Me revient alors à l’esprit que Gwendoline m’attend dans la salle de bains, j’allais oublier. Je m’éclipse pour l’y rejoindre. En entrant, je la trouve assise sur le tabouret en train de s’astiquer la moule avec conviction. — Continue. Fais comme si je n’étais pas là. Elle n’a pas besoin de mes encouragements. L’aurait-elle voulu, je crois qu’elle aurait eu du mal à s’arrêter. Elle est arrivée à un point de non-retour. De fait, le plaisir la submerge rapidement. — Je vois ...