15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
humour,
... pour mes frais. Quand je rentre dans la chambre, Anne est tranquillement allongée, nue sur le lit, en train de lire un magazine. Mais, dès mon apparition, elle abandonne prestement sa lecture et se redresse. Je lui prends le journal des mains et demande ce qu’il y a d’intéressant en commençant à le parcourir. Elle le reprend pour l’envoyer au diable, en disant : — Rien. Ce qui est intéressant est ailleurs, dit-elle en plongeant sa main dans mon pantalon de pyjama. J’avais en effet poussé le vice jusqu’à mettre cette tenue, et boutonnée jusqu’au col s’il vous plaît. Mais elle sait preuve en main que mon détachement n’est que façade. Elle achève de me dévêtir. Je reprends l’initiative. Je la serre dans mes bras, l’embrasse dans le cou et lui murmure des mots tendres. Je la fais s’allonger sur le côté, me tournant le dos. Je me place tête-bêche, presque perpendiculaire. Je soulève sa cuisse et pose ma tête sur l’autre, m’en servant comme d’un doux oreiller. Mes lèvres entrent tout de suite en contact avec ses lèvres intimes. Je lèche, suce, mordille, fouille, aspire. Je sens sous ma langue son bouton enfler et poindre hors de son abri. J’investis totalement la place qui a capitulé sans condition. Anne halète doucement. Au fur et à mesure que je continue à la travailler dans ses œuvres vives, cela devient un doux gémissement. Brusquement, un véritable séisme la secoue, accompagné d’un cri rauque. Elle relâche sa jambe supérieure. Je me dégage avant d’être étouffé. Anne reprend ...
... son souffle. Elle se redresse lentement. Elle m’embrasse, goûtant sur ma langue son jus. Puis elle entreprend à petits coups de langue de me nettoyer le visage. Je m’assois en tailleur, mets un préservatif et l’attire contre moi. Elle comprend mon dessein. Elle vient s’empaler lentement sur mon pieu dressé et noue ses jambes autour de ma taille. Elle se laisse aller en arrière pour prendre appui sur ses bras, m’offrant ainsi ses seins. C’est un cadeau que ne refuse pas. Je m’en empare, d’abord caressant doucement les attaches. Petit à petit je les escalade et en effleure les aréoles. À la fin je les prends à pleine main, les pétrissant délicatement. De temps à autre, je pince et étire les bouts maintenant durcis. Elle a l’air de bien apprécier le traitement. Elle dénoue ses jambes, les replie et me pousse en arrière. Je ne résiste pas et m’allonge sur le dos. Elle est maintenant assise sur moi, m’accueillant toujours profondément en elle. Sa poitrine est toujours à portée de main. Aussi je ne me prive pas de continuer à avoir les doigts crochus. Cela ne m’empêche pas de donner des coups de reins. À chacun de ceux-ci elle ouvre la bouche comme un poisson hors de son bocal. Mais, contrairement à lui, ce n’est pas parce qu’elle est hors de son élément. Je vois sur son visage et sens aux ondulations de ses hanches et aux contractions de son vagin qu’elle va bientôt reprendre son pied. Avec un cri plus aigu et plus prolongé que le précédent, elle confirme que j’avais vu juste. Entre ...