15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
humour,
... deux chéries qui se trouvent contraintes, à leur grand désappointement, de cesser leur jeu de main. Elles se rajustent rapidement. Je prends aussi quelques clichés de cette opération précipitée. Nous musardons encore un peu, mais l’alerte a été chaude et elles cessent leurs petites provocations. La nuit tombe. Les soirées, avec l’heure d’été nouvellement instituée, bénéficient de la lumière du jour beaucoup plus tard. Pour nous c’est plutôt agréable, mais je ne sais pas si pour les enfants, les vieux, les animaux, c’est une si bonne idée que ça. Nous décidons de rentrer à la maison. Comme les bus ne sont plus très fréquents à cette heure, nous rentrons par le métro. Ce dernier connaissant une petite affluence, les deux coquines jugent préférable de garder les genoux serrés. Quand nous sortons, Dominique, prise de remord après avoir dépassé un distributeur, revient sur ses pas acheter un paquet de chewing-gum. Nous continuons notre chemin avec Gwendoline. Arrivés à la sortie, en haut de l’escalier, nous attendons la retardataire. Un monsieur frisant la soixantaine, sorti de la même rame que nous, s’éloigne sur le trottoir. Il se ravise, revient sur ses pas. Il est très chic et porte une cravate du Rotary Club. Il s’approche et nous salue d’un petit signe de tête. Il se penche un peu vers moi : — Vous avez bien de la chance, jeune homme. Elle a un cul magnifique. Il tourne les talons et reprend dignement le chemin qu’il avait momentanément délaissé. Je reste sans voix. Il m’a ...
... scié, le bonhomme. Je regarde Gwendoline. Elle est aussi abasourdie que moi. Elle a la bouche ouverte et les yeux comme des billes. Mais surtout elle vire au rouge. À la voir, j’ai du mal à garder mon sérieux. Après avoir tenté de l’endiguer, je suis emporté par un fou-rire. Ma chérie me regarde d’un air offensé. Mais l’hilarité finit par la gagner. Quand Dominique nous rejoint, nous sommes tous les deux pliés et bien incapables de répondre à ses questions, nous avons même du mal à respirer. Petit à petit, la tempête se calme. Nous pouvons enfin, en prenant le chemin de la maison, lui faire le récit de notre mésaventure. Cela l’a fait bien rire elle aussi. Jusqu’à la maison nous commentons. Gwendoline nous joue les offensées. Je lui fais remarquer que, quand on se balade les fesses au vent, il faut assumer. De toute manière, ce monsieur n’avait dit que la vérité. Que j’avais de la chance et qu’elle avait un cul magnifique. Une fois arrivés, après un passage par la case salle de bains, Gwendoline rejoint le canapé et Dominique ma chambre. Je la regarde évoluer tandis qu’elle range quelques affaires. — Il n’y a pas que ta sœur qui a un cul magnifique. Je me demande ce qu’il aurait dit si l’appel du chewing-gum ne t’avait pas retenue et si tu avais monté l’escalier avec nous.— Vous avez outrageusement de la chance, jeune homme, elles ont toutes les deux un cul magnifique !— Et là encore il aurait dit la vérité. À moins qu’il en soit resté muet de saisissement. Je l’attrape par le ...