Passé-croisé
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... avec lui ?— Très simplement. — Ho, ça va, tu pouvais le faire ça, non ?— Oh oui, sans problème, mais attends…Moi j’avais écrit : « Au restaurant, tu passes le repas sans rien sous la ceinture. » Il a refusé de reconnaître que j’avais gagné. J’en ai eu marre de l’absence de symétrie dans notre relation, je l’ai foutu dehors. Et puis, quelques jours plus tard, tu es vraiment réapparue dans ma vie, mon amour. Val m’embrasse. Je lui rends son baiser ; ses mains se baladent sur mon corps, je fais de même. D’une petite toux, Chloé nous rappelle à plus de sérieux. — C’est très beau tout ça, les filles, mais je ne voudrais pas bénéficier d’un avantage indu avant de commencer mon histoire. Je suis désolée, Val, mais malgré quelques passages sympathiques, tes talents de conteuse n’ont guère soutiré de miel à notre coquine préférée. À moi de jouer ! Chloé s’éclaircit à nouveau la voix, se lève, et de son timbre mélodieux nous entraîne dans son passé : Les yeux mi-clos, j’aperçois Val se placer derrière Chloé ; une main se glisse le long de sa hanche jusqu’à toucher son pubis, l’autre vient caresser un sein.— Tu ne dis plus tout à fait ça aujourd’hui…Chloé soupire d’aise :— Mmh… Non, en effet, mais seulement avec vous deux, c’est différent… Laisse-moi poursuivre maintenant, ma chérie… Mais… tu peux laisser tes mains où elles sont.Je travaillais déjà à l’époque pour Mme Genrieli, dans la boutique que j’ai ensuite reprise. Alice travaillait dans une usine, de saucisses je crois. Enfin ...
... bref, on ne gagnait pas des mille et des cents, et partager un petit F2, c’était un peu la seule solution pour nos finances. On cohabitait depuis, oh, deux ou trois ans comme ça ; on avait nos codes quand on ramenait un garçon ; enfin, du très classique : ciné ou nuit chez une autre copine, tout ça. Mais là, c’était calme plat pour nous deux à l’approche de l’été. On avait pris quelques habitudes depuis le printemps. Comme j’étais sportive et elle… pas du tout, je partais tôt le matin le week-end faire mon jogging jusqu’à la plage et elle me rejoignait en voiture avec tout ce qu’il faut pour faire un petit déjeuner sur le sable. On repartait avant la chaleur et après une petite baignade. — Hé, il devait être long ton jogging quand même, non ? demande Val.— Oh, une dizaine de kilomètres dans la ville puis la forêt, et quatre ou cinq sur la plage. Je devine les doigts de Val sur mes lèvres, toujours sèches. Elle repart déçue que j’aie encore gagné, mais ravie que l’histoire de Chloé ne me fasse pas plus d’effet que la sienne. Chloé n’avait pas cessé de parler :Pendant qu’Alice sortait le petit déjeuner de la glacière, je lui laissais mes affaires et me baignais dans l’eau encore fraîche. Je me changeais ensuite avec toutes les contorsions habituelles pour enlever un maillot mouillé tout en préservant ma pudeur sous une serviette. Alice regardait toujours ailleurs pendant ces moments « gênants ». Je lui rendais la pareille quand, après le petit déj’, elle revenait de sa propre ...