Passé-croisé
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... je sais que je ne sais pas raconter les histoires ; mais bon, je me lance. Un doigt essaie d’entrer en moi ; je devine tout de suite : — Chloé ! L’histoire n’a même pas commencé !— Un point pour toi, Claire, mais je confirme que pour l’instant, Val, ton histoire, c’est moyen.— Tricheuse, tu essaies de me mettre la pression ! Bon, je continue… Le doigt de Chloé se retire, non sans qu’un ongle soit venu griffer mon clitoris. Petit cadeau pour aider sa concurrente ? — Allez, raconte ; qu’est-ce que tu as fait alors ? — Ouais… effectivement, on t’a connue plus entreprenante ! rigole Chloé.— Oui, bon, je vous avais prévenues… — Mmh. Ça me plaît plus déjà, dis-je, les yeux toujours fermés. Un doigt vient le vérifier, mais je suis encore « fermée ». — C’est toujours Chloé la petite curieuse, affirmé-je.— Caramba, encore raté… Vas-y, Val, tu as des efforts à faire. Je sentis un mouvement près de moi, puis une main sur mon pubis. — Trop facile : c’est toi, Val, ce coup-ci. Continue plutôt ! Val avait raconté son histoire tout d’une traite, sans même respirer aurais-je dit.— Alors pourquoi ? demanda Chloé.— Hé hé, ma robe se boutonnait sur le devant, du décolleté jusqu’aux genoux, mais j’étais tellement perturbée dans la cabine que j’avais tout décalé en reboutonnant. Bref, surtout en courant, n’importe qui pouvait voir mes seins et ma chatte !— Pas mal, pas mal ! Mais ça ne s’est pas arrêté là, je crois ?— Non ! Bon, je passe sur la fin de la journée : on a fait l’amour comme des ...
... bêtes à la maison, mais bon, rien d’exceptionnel non plus. Et puis la monotonie s’est réinstallée. Du coup, c’est moi qui ai relancé l’idée du jeu du « petit joueur » deux semaines plus tard.C’était le soir ; le film au ciné avait été nul, et on allait se coucher sans rien faire. Je voyais bien que ça emmerdait Pierre, alors j’ai craqué, et puis… Enfin, peut-être que j’espérais perdre en fait. Il a bondi sur l’occasion. J’ai rédigé mon mot de façon à ce qu’en fait on soit tous les deux concernés si je gagnais : « Faire l’amour cette nuit dans la forêt ». Mais lui avait écrit, sans doute émoustillé par la course de la dernière fois : « Tu traverses une rue toute nue cette nuit. » Et c’est comme ça que je me suis retrouvée à poil dans une impasse ; je voulais pas traverser une vraie rue, mais ça lui allait parce qu’en fait ça durait plus longtemps. J’ai eu très peur, mais j’ai tellement pris mon pied que, quand je suis revenue vers l’entrée de l’impasse, au lieu de me rhabiller tout de suite je lui ai dit : « Viens au fond de l’impasse avec moi, toi aussi tout nu, et fais-moi l’amour. » Ce con a refusé, prétextant que c’était lui qui avait gagné. Comme c’était lui qui avait ma robe, j’ai pas osé faire un esclandre sur le moment : il aurait été foutu de se casser avec. On est rentré, je faisais la gueule, on a rien fait. C’est mon propre doigt qui constate qu’hélas les malheurs de Valérie me refroidissent plus que ses exploits. Je lui demande : — Ça c’est terminé comment, alors, ...