1. Tout pour la jouissance


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, hagé, extracon, grosseins, poilu(e)s, hotel, telnet, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... envie d’être enculée, je crois que je n’avais jamais eu autant envie de sentir une bite au fond de mes fesses. Et je les lui offris de bonne grâce. C’est à peine si je ressentis une petite douleur lorsque son gland força ma pastille. Il resta ainsi quelques minutes sans bouger, la queue fermement enfoncée dans mon cul, le temps que je m’habitue à sa présence. « Humm, ma grosse vicieuse, tu aimes ça te faire trouer le cul. » Pour sûr que j’aimais ça et plutôt deux fois qu’une. Il entreprit alors de me limer les intestins, d’abord doucement et ensuite de plus en plus vite. J’étais hyper-excitée, je me branlais la chatte en couinant de plaisir. Ça a duré encore un certain temps. Je crois que j’ai même joui du cul, en tout cas une certaine forme de jouissance. Mon bassin tout entier était tétanisé par le plaisir. Avant que je ne le sente décharger en moi et m’engluer les intestins de son foutre poisseux. Nous sommes restés un bon moment immobiles dans cette position, lui sur moi, sa bite toujours enfoncée dans mon cul. Mais il n’était pas léger et j’ai fini par me dégager… Après ce festival, nous nous sommes assoupis. Nous avons dû dormir presque une heure. Quand il s’est réveillé, il était déjà cinq heures et demie. Le foutre avait coulé de mon cul et empoissait mes cuisses. Ça l’a fait rebander, il a voulu me reprendre une dernière fois, à la hussarde, à la va vite mais cette fois en missionnaire. Le lit grinçait toujours autant et je voyais mon amant grimacer au-dessus de ...
    ... moi. En le regardant, je me suis dit que j’étais vraiment devenue une grosse salope qui se donnait au premier venu. Jamais je n’avais eu d’amant aussi laid. Jamais non plus je n’avais joui aussi fort. Nous avons pris notre plaisir de concert, j’ai explosé en sentant sa lance à incendie m’asperger la matrice. Il était presque 18h, il a sauté dans son futal tandis qu’il me pressait pour que je me dépêche. Hors de question que je me refasse une beauté. Je devais avoir les cheveux hirsutes et la mine décomposée, exactement la bouille d’une femme qui vient de sortir du lit. J’ai réajusté tant bien que mal mon chemisier en essayant de masquer le trou. Et comme, dans la bataille, j’avais perdu le string, je suis sortie sans culotte. Nous avons traversé la place en toute hâte et foncé vers le quai. Le train arrivait. Déjà une marée humaine descendait. Il était temps des adieux. Il m’a roulé une dernière pelle en me pelotant le cul et m’a laissée pantoise sur le quai de la gare. Le train est parti et je me suis aperçu que l’agent SNCF me regardait d’un œil étrange. Il faut dire que dans l’état où je me trouvais, je devais faire « vieille salope qui vient de se faire troncher ». Et qui en redemande. Il s’est avancé : — Madame, vous cherchez quelque chose ? Il n’avait pas osé demander « Vous avez pas envie de tirer un coup » mais, vu son air, c’était tout comme. Je l’ai gratifié d’un grand sourire et d’un « Une autre fois, peut-être » des plus énigmatiques. Mais je ne lui ai pas donné ...
«12...101112...20»